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CALCUL D’UNE FONCT. NÉCESS. DANS LA THÉORIE DE CERT. ONDES LIQU. 267*
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que définissent, d’une part, la relation (]/(y) + ^(y) = —7= et, d’autre
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part, les deux conditions spéciales ^(0) = 0, <|/(o) = 0. Il n’j a donc,
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pour l’obtenir sous forme d’intégrale définie, qu’à prendre, dans la
formule (33) [p. 220], p = i, F(£) =-i_ — c v = 0, c 2 =o, et à
2 y/ç “s
changer d’ailleursx en y et j' en i (y). Si, posant enfin y/ç = m, nous
adoptons m comme variable d’intégration, nous aurons
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*b f it Tffc lj №
№» b circonstaw
\ <Ky) = / sin(y — /tt 2 )(5?/n
(56) ) t0
1 = sin y / cos m' 2 dm— cos y / sin in^dm.
Jo <A>
Quand y/y est assez grand, les intégrales qui figurent au troisième
membre ne diffèrent plus sensiblement de I cosm 2 dm et de
Jo
^ sindont la valeur commune, obtenue en faisant b— 1
» '0
dans la formule (32) de la p. 127*, est “l/H vient, par conséquent,
s milieu j—o èia
P rodante la imite
tei choc, rèa come
(5 7 ) (pour y très grand) <Ky)= ; ^ (siny — cosy) = ~ sia (y—
i (SlX mais avec des
l'le rinterrale Me-
Au reste, la différence entre (y) et son expression asymptotique
ainsi obtenue équivaut à une intégrale définie assez remarquable;
mt In «lution parti-
; cosi; c.jioi; n
eiahre.
car on a
(58) 'Ky) — — sin ^y—^ j = l' e-Vï" 1 cosm-dm.
md memijre, ponile
lana la tlteone ®
i par lameraon fi
Effectivement, si l’on appelle A cette intégrale, second membre de
(58), sa dérivée par rapport à y, évaluée (par différentiation sous le
signe y’) en opérant finalement une intégration par parties où s’an
nulera aux deux limites le terme intégré, sera
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jc i, est celle, $f|
( ^ —— f e-^ÿ” 1 cos mK— dm
d '( Jo s/ Y
(59) r _ ..
/ =— / e--^l ,n d sin m 2 = — 1 sin m-dm]
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mm. «tc.
et une différentiation analogue du dernier membre, suivie de même
d’une intégration par parties (mais où le terme intégré deviendra i a