282* ÉQUATIONS LINÉAIRES DES PETITS MOUVEMENTS PERSISTANTS :
c’est-à-dire,
C^rXe«*cos(Bip — c — y)], G ^ [><?«*cos((3a? — c — 8)],
ch." 1 aj -
oü il n’y a plus seulement le facteur e* x , mais aussi X et y, ¡x et
o, . ... à faire varier en fonction de a. Ces termes se dédoublent
donc et en fournissent de nouveaux où, à part les cas d’exacte des
truction mutuelle, figurent quelques-uns au moins des facteurs algé
briques x, ¿c 2 , x 3 ,...,x m , de degrés moindres que celui de multi
plicité des racines a± ¡3^— i. Mais les seuls facteurs transcendants
paraissant dans les diverses parties des résultats sont toujours,
en définitive, e aa? cos(par — c), e ax sin(p# —c); et Métal initial
n’influe encore que sur le coefficient général G de chaque solution
simple ou double et sur la partie — c de l’arc correspondant $x — c.
11 ne change rien au mode d’association de ces facteurs transcen
dants avec les facteurs algébriques x m ou aux rapports mutuels des
coefficients affectant les termes partiels dont se compose, pour chaque
fonction inconnue y, z, «,..., la solution simple ou double considérée.
409*. — Formes plus spéciales imposées aux solutions simples ou doubles
par la nature particulière des phénomènes à exprimer.
il arrivera souvent, dans les applications physiques, que la nature
du phénomène étudié, ou des circonstances de son évolution trop
générales pour pouvoir échapper même aux observations les plus
grossières, feront connaître, avant toute étude analytique, d’intéres
santes particularités sur la forme des solutions simples.
Par exemple, s’il s’agit de petits changements produits dans le voi
sinage d’un état d’équilibre ou permanent dont la stabilité soit as
surée, y, z, a, . . . ne pourront, quelque grand que devienne le temps
x, croître indéfiniment, même dans la supposition d’un état initial
où subsisterait une seule quelconque des constantes C : et, par suite,
aucune des parties réelles a des racines de l’équation (18) ne devra
être positive; car le facteur e aa: , où a serait positif, rendrait inévita
blement infinie, pour x — co, la solution simple ou double correspon
dante dans laquelle il figurerait et dont la constante C différerait de
zéro.
Et s’il résulte, en outre, de la nature de la question, que les chan
gements ou mouvements étudiés ne puissent pas plus décroître indé
finiment, c’est-à-dire s’éteindre, que croître, comme il arriverait dans
le cas des vibrations d’un corps isolé parfaitement élastique, on