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EXISTENCE ET ETENDUE DE LEURS INTEGRALES GENERALES.
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surface u — ¥{x,y) sera possible, à partir d’une première coupe
z/ 0 — o(r), tracée arbitrairement (au moins entre certaines limites)
dans le plan x = x 0 .
Il est clair que, s’il figurait dans le second membre de (i), outre x
et y, d’autres variables indépendantes z, . . ., avec des dérivées quel
conques de n par rapport à ces variables, soit seules, soit mêlées à y,
les valeurs de u initiales, ou correspondant à x — x 0 , constitueraient
ensemble une fonction arbitraire de la forme u 0 = r fy, z, ...), au
lieu de « 0 =zo(/), et que l’équation (i) continuerait à définir, de
proche en proche, une certaine manière possible de faire varier u en
fonction de x, pour chaque groupe fixe de valeurs de y, z, ..., et
presque de même pour des groupes très voisins, de manière à com
poser, en accord avec l’équation (i), une fonction u = ¥{x,y, z, ...)
continue non seulement par rapport à x, mais aussi par rapport à y,
z, .... Ainsi, toute équation aux dérivées partielles, du premier
ordre par rapport à la variable indépendante principale x, admet
une intégrale générale, dans laquelle les valeurs initiales de la
quantité à déterminer u constituent une fonction arbitraire des
autres variables y, z, ....
Celte intégrale générale est d’ailleurs unique ; car, en nous bor
nant, par exemple, au cas des deux variables x, y, si, pour une cer
taine valeur x de la variable principale, deux fonctions distinctes
u, U devenaient possibles, on aurait, pour les valeurs suivantes,
jusqu’à une autre très voisine xy-z, non seulement l’équation (i),
mais encore celle-ci
(2)
d¥ d- U
J \ ’ U ’ dy ’ dy*’ )’
et, par suite, la différence d’abord nulle U — u aurait sa dérivée en x
donnée par la relation
c?(U — u) .( d\] d' 1 U \ ./ du d' 1 a \
< 3) ~d~ = A v ’ D, i’F"r / ( w ‘’ÿ’5 5r '7
Or, sauf pour des systèmes spéciaux de valeurs des quantités#,/, u,
du d*u . -,
dy’ ~dÿ5’ * ’ * ’ et aussi <aes ra PP orts
: d{ U — u) i <r/ 2 (U — u)
U — u
dy
U — u
dy 2
qui ne peuvent devenir qu’exceptionnellement infinis, la fonction
f n’éprouve, quand on y change u, • • • en U, • • •, qu’une