APPLICATION A LA LOXODROMIE.
» I
troisième
wle '1 «n parai-
f w, infiniment
sL > ®=const.
8» M, !a. ; ,
un cône
‘ratrice et cou-
ntia. la surface
OM ou r pour
> le cône sui-
roent en mf.
ces, ainsi pro
cès analogues
l’on appelle
itre M et M',
ME, pour 0,
i (liii’érence
en valeur
r x MOG = rà
nt la forme
igle a faces
rieur el re-
s carrés des
l dt de l’arc
\B, intégrer
trois variables
r tes équations
indépendante,
• ce qui donne
. joi*). (H
, ¿ ;a le distance
is, en adoptant
6.7*
celte distance comme unité de longueur, est ;• = x ; et, si l’on prend,
par exemple, l’autre équation de la courbe sous la forme 6=;/(cp),
l’expression de l’arc, entre deux hauteurs angulaires données cp 0 , cp,
sera s — f \Ji H-/ / (cp) 2 cos 2 cp dy.
'GP»
Traitons directement un exemple simple de ce dernier cas, fourni
par la loxodromie. On appelle ainsi la trajectoire d’un navire qui, sur
la surface de l’Océan (supposée sphérique), coupe successivement sous
un même angle tous les cercles méridiens. Alors, Os étant la ligne
des pôles et le plan xOy celui de l’équateur, l’azimut G devient la
longitude et, la hauteur cp, la latitude. Supposons la courbe parcou
rue de manière que o grandisse, et appelons V l’angle constant que
fait sa direction en un point quelconque avec Tare de méridien mené
à partir de ce point du côté des latitudes cp croissantes, cet angle étant
positif ou négatif suivant que la longitude 0 grandit ou décroît. Comme
on aura r — i ou, sur la figure ci-dessus, ME = o, le parallélépipède
MEFGM' se réduira au rectangle construit sur les deux arêtes
MF = ± cosodO, MG — do ; et TélémentMM' ou ds, devenu la diago
nale de ce rectangle, fera l’angle V avec la méridienne MG et l’angle
- — Y avec Tare de parallèle (dz MF), mené du côté des longitudes 0
croissantes. On aura donc
(36) ±MF ou coscpcZG = MGtangY — tangY.aàp, MG ou do ~ ds cosV.
La première de ces relations donne dO — ( tangV) ; et, en inté-
cosep
grant dans l’hypothèse qu’on ait fait passer le premier méridien 0 = o
par le point où la loxodromie coupe Téquateur, c’est-à-dire de ma
nière à annuler 0 pour cp = o, il vient l’équation finie de la courbe en
G et cp
(37) G=(tangV)jf = tangV log tan g H-
Quant à la seconde relation (36), elle équivaut à poser cïs — do ;
et, par suite, si Ton intègre ds depuis la latitude la plus basse pos
sible cp — — T, c’est-à-dire en faisant partir la loxodomie du pôle si
tué sur Taxe des z négatifs, jusqu’au point quelconque dont la lati
tude est cp, Ton aura
(38)
dsV (ï + l)‘
s —
cos Y