Ixviia. Descartes to Huygens ¡jijan. i6^
lierez le challiment dans les derniers fueillets, outre ce que
le Magillrat y a porté de fon autorité Politique), m’ont 70
obligé d’en ufer de celle forte. le vous en demande pardon,
li vous le defapprouuez, et véritablement feray bien ayfe
d’en fçauoir voilre jugement. Mais vous deburiez eftre
plus informé du faiél du fçauant homme, qui n’eft pas un
entretien de lettre; ni en difcours mefme allez digne de 7?
voilre attention. le vous baife tres-humblement les mains,
et dans la prelîè du monde où je roulle, vous demande
touliours quelque nouuelle du monde, comme le moins
entendu, mais des plus auides et infatiables de voz leéleurs,
et en fin, 80
Monlieur, comme
Voilre tres-humble et très-acquis
feruiteur,
C. Huygens.
A la Haye, le if de lanuier 1642. g T
LXVIIa.
Descartes to Huygens. .
31 January 1642.
Corresp. CCLXVII, vol. Ill, pp. ^xo-q. (.Briefwisseling, X938, vol. III,
pp. x6x~3), from the autograph in Philadelphia.
In reply to the preceding.
Monlieur,
le ne m’ellonne plus qu’on contredife à mes efcrîts, & que mes
opinions rencontrent des aduerlàires, puifque voilre innocent traité
de Pvlage des orgues, qui ell plus doux que leur harmonie, & qui
deuroit eftre aufly puillant, pour appailêr les efprits malins, que la s
Raeds van ’s Graven-hage, gehouden Den 10. Decemb. 1641 * (Resp. Prud. y
pp. 100-d), and Briefwisseling, 1931 ad fin., vol. III, p. xdl.
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