Full text: Correspondence of Descartes and Constantyn Huygens 1635 - 1647

Ixviia. Descartes to Huygens ¡jijan. i6^ 
lierez le challiment dans les derniers fueillets, outre ce que 
le Magillrat y a porté de fon autorité Politique), m’ont 70 
obligé d’en ufer de celle forte. le vous en demande pardon, 
li vous le defapprouuez, et véritablement feray bien ayfe 
d’en fçauoir voilre jugement. Mais vous deburiez eftre 
plus informé du faiél du fçauant homme, qui n’eft pas un 
entretien de lettre; ni en difcours mefme allez digne de 7? 
voilre attention. le vous baife tres-humblement les mains, 
et dans la prelîè du monde où je roulle, vous demande 
touliours quelque nouuelle du monde, comme le moins 
entendu, mais des plus auides et infatiables de voz leéleurs, 
et en fin, 80 
Monlieur, comme 
Voilre tres-humble et très-acquis 
feruiteur, 
C. Huygens. 
A la Haye, le if de lanuier 1642. g T 
LXVIIa. 
Descartes to Huygens. . 
31 January 1642. 
Corresp. CCLXVII, vol. Ill, pp. ^xo-q. (.Briefwisseling, X938, vol. III, 
pp. x6x~3), from the autograph in Philadelphia. 
In reply to the preceding. 
Monlieur, 
le ne m’ellonne plus qu’on contredife à mes efcrîts, & que mes 
opinions rencontrent des aduerlàires, puifque voilre innocent traité 
de Pvlage des orgues, qui ell plus doux que leur harmonie, & qui 
deuroit eftre aufly puillant, pour appailêr les efprits malins, que la s 
Raeds van ’s Graven-hage, gehouden Den 10. Decemb. 1641 * (Resp. Prud. y 
pp. 100-d), and Briefwisseling, 1931 ad fin., vol. III, p. xdl. 
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