xy April I6j.x] Ixx. HüYGENS TO DESCARTES 
pour un quart que je vous en demanderay à mon tour, afin 
de vous expliquer mes meilleurs | fentimens fur ce que 
deilus. S’il eft poiîible que je fâche pour quand environ 
vous me faicftes efperer celle faveur, je m’y accommoderay 
zj d’autant mieulx. Demain je fay partir la répliqué de 
Waterlaet a vers le Pere Merienne, qui doibt plus fçauoir 
de latin que moy pour la bien entendre. M. Riuet en 
parle de mefme. Le ftyle de ces gens là eft auiïy embaraflé, 
et, pour mon regard, a des qualitez auiïy occultes que leur 
3 o Philofophie. le vous baife les mains, et vous fupplie de 
croire que f’il y a de la forme fubftantielle b au monde, la 
miene eft, par où je fuis, 
Moniteur, 
Voftre tres-humble et tres-paffionné 
3 j feruiteur, 
C. Huygens. 
A la Haye, le 27 e d’Avril 1642. 
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A Moniteur, 
Moniteur Defcartes. 
Te beftellen ten Huyfe 
van Jonkheere van Hooghelande, 
op de Bree Straet, 
Tot 
Poil. 
Leiden. 
p. 166). For a plan and description of the house see Huygens’ poem Hofwyck, 
Hofstede vanden Heere vati Zuylichem onder Voorburgh (Hague, 16^). 
a Lambert van Waterlaet, a student at Leiden who opposed Regius’ theses 
in December, 1641, and in April 1641 published Prodromos, sive Examen 
tutelare orthodoxae Philosophiae principiorum in defence of the traditional philo 
sophy. According to Baillet (vol. II, p. 1 <¡6, marginal note), this volume was 
mentioned in the inventory of Descartes’ papers. 
b The whole controversy began from and centred round the question of 
the existence of c substantial forms ’ (cf. e. g. Corresp. CCLXVI, vol. Ill, 
p. foi f.). 
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