de ce qu’en ma pré 
facé a i’ay fait quel 
ques alluiions au 
carme qu’il a donné 
2 au lieur Heiniîus. 
le me doutois bien 
neanmoins que mes 
parties feroient ce 
qu’ils pourroient 
pour l’embarquer en 
ce different, et luy 
perfuader que i’auoy 
eu deflèin de l’atta 
quer. Ce qui n’eff; 
point. Ils ont auflî 
remué, comme vous 
fçauez, toute pierre 
affîn d’intereflèr tout 
le monde en cete 
querelle pour auoir 
plus de gens de leur 
cofté. Mais tout 
cela ne leur feruira 
3 de gueres. 
Pour reuenir à 
Mons r de Zuylichem, 
f’il n’a pris parti 
auec celuy qui fait 
duel contre moy 
iufques à luy vouloir 
Si fes parties auoient enuie de mem 
barquer au different, il me iemble 
qu’ils en pourroient trouuer l’étoffe 
ou l’ocaiion icy, mais iufques à pre- 
fent ie n’apperçois pas que perfonne i * 
f’en meile. Auflî tous ceux qui 
l’entreprendront y perdront leurs 
peines* le parle donq de mon chef, 
et fans prefter ma paflion aux interets 
d’autruy, qui n’efl: pas chofe de mon 10 
meftier. 
S Aurois ie bien la vanité de prendre 3 o 
parti contre vn Saumaife ou de penfer 
feruir de fécond à vn Heiniîus > Nœ 
ifia glonofa fapientia non magno œfii- 
manda effet, Jiquidem non multum 
differret ab infaniâ. Vne mouche 3f 
a i. e. to his De Modo Usurarum Uber (1639) which formed the second 
volume of his De Usuris Liber (1638). 
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