Full text: Leonardi Euleri Commentationes Arithmeticae Collectae (Tomus 2)

Problema Diophanteum. 
621 
où, lorsque nn > 2 (2/i -h 1), le premier membre surpassera toujours le second, et par conséquent 
toutes les valeurs de z, depuis p jusqua l’infini, répondront à notre but, et nous aurons toujours 
PP~+~ W > rr - arr ‘ ve lorsque n > 2 -4- V6. Or, dans le cas de n = 2-+-V6, on aura 
h = V(/i/i — 2 ai — 1) = V(5 -h 2 V6) = Y3 -h Ÿ2, p = n -f- k = (V3 -h V2) (V2 h- 1), 
f= n — k = (V3 -h V2) (V2 — 1). 
Donc cela aura lieu quand 
Q>(V3 -H V2) (V2 h— i), (V3 ■+- V2) (V2 — 1), 
ou bien, en réduisant en fractions décimales, lorsque p > 7,59575V1 et /*< 1,303225V. Ainsi, 
toutes les fois que f <C 1,303225V, ou p >» 7,59575V1, la quantité z peut être plus grande que p 
jusqu’à l’infini. 
15. Passons maintenant au cas, où nn < 2 (2/i -h 1), ce qui arrive lorsque ;i < 2-HV6, ou 
lorsque /*> (V3-h V2) (V2 — 1) et, au contraire, p <C (V3 -h V2) (V2 -h l). Si nous retranchons 
dans notre équation le premier membre du second, nous aurons 
(Vai -h 2 — nn) z* — (2Vai -h 12 h- 2nn) zzh-V/ih- 2 — 2nn. 
Soit, pour abréger, = ^^ ^ viendra, après avoir divisé par Vai-h2—nn, 
z 4 — 2 Jzz -+-1=0. 
En résolvant cette équation, on a zz = z/zh V(z/ 2 —1), ou enfin z = ± ) — V (—■Y~')' 
Or, de ces quatre racines de l’équation z 4 — 2z/zz-h1=0, la plus grande 
est la seule qui surpasse 1, et de là nous concluons que toutes les valeurs, depuis p jusqu’à ce 
terme, fourniront des valeurs convenables pour z, 
16. Supposons f — ~ et par conséquent p = 5; nous aurons n = ^> 
d—12,52112 et =6,76056, ^A = 5,76056, enfin V(^) = 2,60, > / (^^=- 1 )n=2,V0, 
et de là z = 5, c’est-à-dire z ne saurait surpasser p que d’une fraction extrêmement petite. 
Second cas. 
Recherche des valeurs de z qui se trouvent au dessous de f. 
17. Ici P et Q sont négatifs, et notre équation à résoudre sera 
/iai(zz-h1) 2 = — P — G = — 2(2thh1)z 4 -h12(2/i-h1)zz—2(2/ih-1)=—2(2/i-h !)(z 4 — 6zz-h1), 
laquelle peut être réduite à la précédente, en faisant z =car alors on aura 
nn (cc-h 1) 2 = 2 (2/1-4- 1) (c 4 — 6w+ 1). 
Observons ici que les deux lettres v et z dépendent l’une de l’autre de la même manière que f et p, 
de sorte qu’on aura semblablement cz = c-4-z-h 1, 
18. Ainsi nous aurons ici, de même qu’auparavant, les valeurs convenables de c entre les 
limites de p et oo, lorsque p> 7,59575Vl, ou f< 1,303225V, et par conséquent z = 
être pris entre les limites de f et 1. 
pourra
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.