ment les appliquées à la courbe qui ont la propriété que nous donnons
par adéquation à la ligne FE.
Cela étant fait, ¡’ôte les choses communes et divise le reste par E.
j’efface tout ce qui reste mêlé avec E et égalise le surplus, de sorte que,
par cette dernière équation, je commis la valeur de A et par consé
quent la ligne BD et la tangente.
3. Et pour faire voir que la méthode est générale, et qu’elle satis
fait avec pareille facilité à toutes sortes de questions, nous la pouvons
appliquer, pour servir d’un second exemple, à la ligne courbe pro
posée par M. Descartes (').
Soit la courbe GA (fig. 68), de laquelle la propriété est telle que, quelque
point qu’on prenne sur la dite courbe, comme A, tirant la perpendicu
Fig. 68.
laire AB, les deux cubes CB et B A soient égaux au parallélépipède com
pris sous une ligne droite donnée, comme. IV, et sous les deux lignes CB
et BA.
Supposons que la chose soit déjà faite, et une construction pareille
à la précédente, avec les noms des lignes BD, BC, BA, CF, FE. II faudra
comparer, par adéquation, les deux cubes CF, FE avec le solide com
pris sous N, FC, FE.
Les deux cubes de CF, FE sont en notes