I
rX A' Û
r I
■ ? /v]
m -v' .
wmmmmiaBimsswsuEma
XXXI. — JUIN 1638.
le solide de A, GF, FE, en notes, est
Ain D in B in A — /Yin D in B in E — Ain B in A in E + A in B in Eq.
Multipliant tout par Acub., il faut comparer
De. in A c. — Ec. in A c. — Dq. in E in A c. 3 -+- D in Eq. in A c. 3
+ Bc. i nAc.— Bc. in Ec. — Bc. in Aq. in E. 3 Bc. in Aq. in Eq. 3
avec
Otons les choses communes, savoir, du premier terme,
De. in Ac. -h B c. in Ac.,
et du second,
qui sont égaux par la propriété de la ligne; — puisque les deux
cubes De. et Bc., répondant aux cubes des deux lignes BC et BA,
sont égaux au solide Ain D in B, qui répond à celui de la ligne donnée
et des deux lignes BC et BA. — Divisons le reste par E et ôlons ensuite
tout ce qui se trouvera mêlé avec E; restera enfin
Dq. in A ter h- B cub. ter égala Ain D in B + Ain B in A,
et ainsi nous aurons
A in D in B — B cub. ter
ce qu’il falloit chercher.
Nous avons mis, suivant la méthode de Viète ( 1 ), deux lignes = [tour
la marque du défaut, parce qu’il n’appert point, s’il n’a été dit d’ail-
(‘) Viète, In Artem analyticen Isagoge, cap. iv, præc. n (éd. Schooten, Leyde, Elze-
virs, i64<>, page 5) :
« Cnm aulem non proponitur utra magnitudo sit major vel minor, et tamen subductio
» facienda est, nota differentiae est = id est, minus incerto : ut propositis A quadrato et
» B plano, differentia erit A quadratum = B plano, vel B planum = A quadrato. »