XL. - JUIN 1640.
197
127
126
123
3Gi
362
363
3G4
365
366
118
11 7
116
347
148
338
33 9
143
143
342
142
344
345
13g
138
325
161
169
168
3x8
319
320
321
x63
162
324
160
292
293
m 1
190
299
298
297
l86
185
184
3o2
193
270
280
272
273
211
210
209
208
278
279
203
2X3
248
227
230
231
23o
232
23 I
233
256
257
268
237
226
249
228
229
232
253
234
233
234
235
236
25 9
204
214
206
207
277
276
275
274
2X2
2l3
271
281
182
192
3ox
3oo
189
l88
187
296
295
294
183
3o3
171
3x5
323
322
x6{
xG5
IGG
1G7
3x 7
3x6
170
314
i49
34 G
147
l46
340
341
l44
343
1 ii
x4o
33 7
336
36g
359
36o
124
123
122
121
120
1 >9
367
368
358
4. Pour ce qui est des cubes ('), je n’en sais pas plus que M. Fre-
nicle, mais pourtant je puis les ranger tous à la charge que les diago
nales seules des quarrés que nous pouvons supposer parallèles à l’ho
rizon seront égales aux côtés des quarrés, ce qui n’est pas peu de
chose, en attendant qu’une plus longue méditation découvre le reste.
Je dresserai celui de 8, io et 12 à ces conditions, si M. Frcnicle me
l’ordonne.
5. Pour les quarrés qui ont des cellules vides ( 2 ), j’y travaillerai au
plus tôt.
6. Ce que j’estime le plus est l’abrégé ( 3 ) pour l’invention des
nombres parfaits, à quoi je suis résolu de m’attacher, si M. Frcnicle
ne me fait part de sa méthode.
( 1 ) Voir Lettre XXXVIII bis, 8.
( 2 ) Voir Lettre XXXVIII, 4.
( 3 ) Voir Lettre XXXIX, 1.