Il n’y a qu’un seul quarré en entiers qui, augmenté du binaire, fasse
un cube. Le dit quarré est 25.
Il ri y a que deux quarrés en entiers, lesquels, augmentés de L\, fassent
un cube. Les dits quarrés sont 4 et 121 (*).
Toutes les puissances quarrées de 2, augmentées de T unité, sont
nombres premiers ( 2 ).
Cette dernière question est d’une très subtile et très ingénieuse
recherche et, bien qu’elle soit conçue affirmativement, elle est néga
tive, puisque dire qu’un nombre est premier, c’est dire qu’il ne peut
être divisé par aucun nombre.
Je mets en cet endroit la question suivante dont j’ai envoyé la dé
monstration à M. Frenicle, après qu’il m’a avoué et qu’il a même
témoigné dans son Écrit imprimé ( 3 ) qu’il n’a pu la trouver :
U ri y a que les deux nombres 1 et 7 qui, étant moindres de T unité
qu’un double quarré, fassent un carré de même nature, c’est-à-dire qui
soit moindre de l’unité qu’un double quarré.
6. Après avoir couru toutes ces questions, la plupart de diverse na
ture et de différente façon de démontrer, j’ai passé à l’invention des
règles générales pour résoudre les équations simples et doubles du
Diophante.
On propose, par exemple,
7967 égaux à un quarré.
J’ai une règle générale pour résoudre cette équation, si elle est pos
sible, ou découvrir son impossibilité, et ainsi en tous les cas et en tous
nombres tant des quarrés que des unités.