450 ŒUVRES DE FERMAT. — CORRESPONDANCE.
mémoire, et ie ne doubte pas que Monsieur de La Chambre ne vous fasse
souvenir, Monseigneur, que moud, fils vous rendistses respects en per
sonne en l’année mil six cens cinquante sept, et que Monseigneur le
Duc de Sulli ne vous dise quelque parolle favorable pour une famille
qui vous est entièrement dévouée et qui vous est acquise avec toute
dépendance. J’attens cette seule grâce de vostre bonté et suis avec très
grand respect
Monseigneur
Votre très humble et très
obéissant serviteur
Fermai.
A Tolose, le i3 dec. iG6r,