N CE.
Vili.
16 AO UT 163G.
3o
[ir eæ parles in
qualia. Suppo-
spensum, idem
collocatae et ah
Au reste, je vous puis assurer que le Livre (') qu’il vous a plu
m’envoyer est ce que j’ai vu de plus ingénieux sur cette matière ; mais,
si mes propositions sont vraies, de quoi peut-être vous ne douterez pas
toujours, vous m’accorderez que ce mouvement sur les plans inclinés
ries ponderis B
dus ipsum intc-
arallelos suppo-
se peut prouver encore plus précisément.
Ce n’est pas que je n’estime autant que je dois votre invention ; mais
ce que le chancelier Bacon a dit est bien vrai : « Multi psrtransihunt et
augehitur scientia ( 2 ). »
Je suis etc.
et ecce tantum
r a centro terra’
on supponit, de
VIH.
»1 N, in eadem,
allo AH, descri-
ÉTIENNE PASCAL ET ROBERYAL A FERMAT.
SAMEDI IG AOUT 1G36 ( 3 ).
( Va, p. i24~)3o. )
Monsieur ( 4 ),
1. Le principe que vous demandez pour la Géostatique est que, si
deux poids égaux sont joints par une ligne droite ferme et [de soi] sans
ùt prave in F ad
ad circumferen
tur um et acquili-
( 1 ) H s’agit évidemment du Traité de Méchanique. Des poids soustenus par des puis
sances sur les plans inclinez à T Horizon. Des puissances qui soustiennent un poids sus
pendu à deux chordes. Par G. Pers. de Roherval, Professeur Royal es Mathématiques
au Collège de Maistre Gerçais et en chaire de Ramus nu Collège de France, inséré, avec
une pagination spéciale (de i à 36), dans la Seconde Partie de l’Harmonie universelle du
P. Mersenne (1687). v
( 2 ) Cette pensée, tirée d’un texte du prophète Daniel (xii, 4), se trouve dans le Novum
n ad centrum A,
lentibus facillime
organum (1, aphor. 93) sous la forme : Multi pertransihunt et multiplex crit scientia, cl
dans le Traité De dignitate et augmentis scientiarum (I, cap. x, 3), sous la suivante :
Plurimi pertransihunt et augehitur scientia. Mais Fermât a textuellement reproduit la
légende d’une vignette au frontispice de la première édition du Novum Organum (1G20),
vignette qui représente un vaisseau franchissant à pleines voiles les Colonnes d’Hercule.
( 3 ) Réponse à la Lettre VIL Fermât y a répliqué par la Lettre IX, puis à nouveau par
la Lettre XL
ic doute pas que
li tati on.
(*) Le texte ( I e cette Lettre a été restitué d’après le manuscrit de la Bibliothèque natio
nale, latin 7226 f° 40 suiv. Les mots entre crochets [ ] sont des additions empruntées à
1 édition des J ana. Quant aux autres leçons de cette édition, qui représentent une rédac-