21. La notion de ligne.
69
nsidérait comme
shait la variation
ion de la durée
toutefois à faire
t un postulat 268 ),
met que dans la
Leux parties limi-
, tout au moins
commune,
ts de congruence,
icédé quelconque,
able e de points
de l’ensemble e.
éfinit le concept
suisse être repré-
éelle x, que l’on
sduit à l’intérieur
us pouvons avoir
imeut du concept
a, construction de
L de la variété élé-
analytique. Voir
52].
dans la variété
land on envisage
msions; aussi ne
ité élémentaire v x
: à une dimension
i dimension,
ger, sous le nom
m arc de courbe,
e dimension peut
? (11, 1)] sur un
son origine et de
575; trad. L. Laugel,
144.
son extrémité un segment linéaire devient une ligne ouverte comme
celles que nous avons envisagées plus baut. Il suffit donc de modifier
quelque peu les propositions précédentes pour qu’elles s’appliquent
au concept d’une variété limitée quelconque à une dimension ou, si
l’on veut, du segment linéaire considéré en soi.
On observe ensuite que le concept le plus général d’une variété
à une dimension, ou d’une ligne, se rattache aux précédents, puisqu’on
peut considérer une ligne quelconque comme formée par une juxta
position de plusieurs segments linéaires soudés les uns aux autres de
façon que l’extrémité de l’un coïncide avec l’origine de l’autre d’une
façon convenable.
Si, en particulier, on juxtapose deux segments linéaires AB et
CB de façon que A et B d’une part, B et G d’autre part, coïnci
dent, on obtient une ligne fermée. Nous représenterons les lignes
fermées ou plutôt les variétés à une dimension correspondantes par
le symbole V 1 .
En se plaçant au point de vue génétique, les postulats qui, dans
la théorie du continuum, caractérisent les propriétés de la variété V 1
peuvent être établis directement si l’on admet deux ordres cycliques
opposés sur V x , en d’autres termes si l’on admet que les éléments de
V 1 (qu’on identifie aux points de la ligne fermée correspondante)
puissent être disposés 27 °) dans l’un et l’autre sens sur V x d’une 'façon
cyclique c’est-à-dire telle que les trois conditions que voici soient vérifiées:
I o ) Si un élément quelconque de V x est donné il existe un seul
ordre sur V x , ayant un sens déterminé avec cet élément comme pre
mier élément, et dans lequel:
a) de deux éléments B et G, toujours l’un précède l’autre;
si B précède G, G suit B;
b) si B précède G et si G précède B, alors B précède JD;
c) entre deux éléments quelconques B et G il y a une in
finité d’éléments;
d) il n’y a aucun dernier élément.
On appelle cette disposition des éléments de V x la disposition
naturelle de V x . Par rapport à cette disposition naturelle:
2°) Les deux ordres de V x correspondant au même élément mais
aux deux sens opposés sont des inversions l’un de l’autre.
3°) Si, dans l’un des ordres naturels correspondant à un premier 270
270) *On entend par disposition d’éléments donnés sur une ligne formée
la règle suivant laquelle on fixe une infinité d'ordres possibles de ces éléments.
Pour fixer un de ces ordres, il suffit de fixer d’une part un des deux sens appar
tenant à la disposition et d’autre part celui des éléments qui doit être le premier.*