238 EXEMPLE DE L’INTÉGRATION APPROCHÉE DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES
pothèse que les temps x soient comptés à partir d’une époque où le
mobile se trouvait, à l’origine, animé d’une certaine vitesse y' 0 — k. La
première valeur approchée de y sera donc [vu les données y 0 = o, ou
logue du second membre de (40, borné de même à sa partie principale
F A 2
(en A 2 ), sera F{x) = ~ sin a par. Les formules (3o) [p. 219] don
neront
( 42 )
sin 2 Qx cos $x dx.
Substituons, dans la première de celles-ci, à sin z $xdx, l’expression
équivalente
et, dans la seconde, à cos $xdx la différentielle a l ors les in
tégrations seront immédiates, et nous trouverons
k EA 2 sin 3 [3;r
P + T* 3~
Il en résulte, pour la valeur demandée G^os/S.r + C 2 sinjâa; de y, en
remplaçant d’abord sin 4 p^ par (1 — cos 2 !3.r) 2 et réduisant, puis enfin
en substituant
(44)
On remarquera que, développée, cette expression dey, où le terme
de première approximation, proportionnel à sin [3.2?, est périodique et
nul en moyenne, comprend de plus, à la seconde approximation,
outre un terme de même période, proportionnel à cos¡3.3?, un autre
terme proportionnel à cos 2 [3,2? ou, par conséquent, de période moitié
E A 2
moindre, et le terme constant —Ce dernier, ayant seul sa valeur
’ 2 p + J
moyenne différente de zéro, définit évidemment la situation moyenne
du mobile, ou ce qu’on peut appeler le centre de gravité de sa tra-