,s 'í¿í
er > »u contraíigj
' üù la valeur
înl diminuée de
■ iue ' a près avoir
^e.cosMj. el)
! ll; ' t'a renrnla.
S« M X
par
111 nombre entier
iar fll . deviendra
'ement Fexpo-
maniere a I
» à intégrer, dx
■t--mx+c
¡ralea proposées,
Prenons-v, pour
lans la deuxième,
, derniers membres
lires prés; doù d
relations obtenues
¿bles des derniers
et calcul de f e~ ax ( cos b x ou sin bx)dx. 33
termes, aux deux équations, du premier degré en I et J,
(34) £iI-t-6J— — e~ ax cosbx -+- c, —=— e~ ax sin bx -t- c'.
Il suffit, pour en déduire I et J, d’ajouter ces deux équations, après
les avoir respectivement multipliées, soit par a et par — b, soit par
b et par a. Si l’on divise enfin par a 2 -\- b-, il vient, en remarquant
que
(35)
1 — hc'
bc
,, et ,
b 2 cb
6*
sont deux constantes quelconques,
/e~ ax cos bx dx = -
f e~ ax s in b x dx
a cos bx — b sin bx
a 1 -
a sin bx
b*
b cos bx
const.,
¿>2
e -ax const.
On peut juger, par cet exemple et par ceux qui précèdent, combien
est précieuse, dans une foule de cas, l’intégration par parties. Ce pro
cédé et celui de substitution sont les deux principales ressources du
Calcul intégral.
B. — il. Partie élémentaire.
■ * ■ »■; &. ' - t