/ |0 intégration des différentielles rationnelles
c’est-à-dire Mlog(tc — c), si x — c est positif, et Mlog(c — x), si
c’est, au contraire, c — x qui est positif (*).
Soit, enfin, ( p - y + E )^ ia différentielle à laquelle conduit un
terme de la troisième espèce. On la débarrasse d’abord de la partie du
premier degré en x, au numérateur, en remplaçant Da? + E par la
quantité évidemment équivalente D(Æ-a) + (Da + E); ce qui per
met de dédoubler la différentielle en deux termes, dont l’un est
D(x-a)dx _ D — et l’autre, +
[O —a)2-h pM'« “ 2 L(a? —a; 2 -f-
Le premier, si bon y pose (x — a) 2 -t- f3 2
D
\{x — a
1 . D
t, devient — t
2
)*-f- ^\' n
m dt et a
pour intégrale soit — -
2 (m — i )t'“~ A
, c’est-à-dire
D
2(ni —• i)[( a? — a) 2 -+- ■*
quand m dépasse l’unité, soit ^ logi, c’est-à-dire^ log [fx
ou D log \J{x — a) 2 + p 2 , dans le cas ordinaire m = i.
Considérons donc le seul terme restant, qui est
(Da-f-E)a?a7 _ (Da + E)d(a; — a)_
[(2?—a) 2 H- $*\" 1 [{x — a ) 2 -+"j3 2 J' M ’
«) 2 +P 2 ]
et divisons-y par le numérateur et le dénominateur. Le résultat
x — œ
D a
pourra évidemment s’écrire
E
d
P
P*
P
Prenons-y en
fin comme variable auxiliaire l le rapport x et, abstraction faite
du facteur constant
Da + E
ce terme aura la forme, aussi simple que
(') Cette double forme, log (a; — c) et log(c — x), donnée à l’intégrale de
a P our b ut de ne faire figurer que des logarithmes réels, des logarithmes
de nombres positifs. Mais en admettant aussi dans les formules le logarithme ima
ginaire le plus simple des nombres négatifs, celui qui dépasse de iq/ — i le loga
rithme de la valeur absolue de ces nombres (t. I, p. 36*), on pourrait se conten
ter d’une seule des deux formes, puisque log (ai — c) et log(c — x) ne diffèrent
que par la constante tz\/—i et ont la même partie variable avec x, ou s’équi
valent en tant qu’intégrales indéfinies.