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INTÉGRATION DES DIFFÉRENTIELLES ALGEBRIQUES :
dx
dernier procédé l’expression qui se présente assez souvent
J y/A -H a? 2
en Analyse et en Mécanique. Nous aurons à écrire, d’après (24),
y/Â -h X 2 = f — X
ou, en élevant au carré et simplifiant, A — P— 2 tx, c’est-à-dire
t 2 — A 1
d’où
dx — - (
\ t J
* V
dt ;
et il en résulte aussi
r 1 / A'
y A —(— x 2 — t x — - i 21 ^
Donc la différentielle proposée, quotient de dx par y A h- x* , devient
simplement ou a pour intégrale logi. Et il vient, vu la valeur
x —j— y/A de
(26)
log(a? -f- y/A -h x 2 ) -h const.
J \/Ax' 2
On contrôle cette intégration, en calculant la dérivée du résultat
log(yr -1- y/A -h x^\ dérivée qu’on trouve, successivement, être
I d / , \ o.x
i — \x -f- y/A -h x' 2 ) 1 -!
I dx ‘x y/ A -t— x 2
i x y/A -t- x' 2 x -t- y/A -f- x' 2
I _ y/A +- æ; 2 -f- ¿r _ 1
y/A -+- x 2 (a? -+- y/A x' 2 ) y/A
a? 2
et en constatant qu’elle égale bien la fonction par laquelle dx est
multiplié dans la différentielle qu’il s’agissait d’intégrer.
Observons, à ce propos, qu’il ne faut jamais, après avoir effectué un
calcul d’intégrale indéfinie, négliger d’en faire ainsi la preuve, par la
différentiation toujours possible et même facile du résultat; car, sans
cette vérification, on ne pourrait guère avoir l’assurance de ne s’être
pas trompé quelque part dans les transformations, généralement
longues, que nécessitent les intégrations.
249*. — Autre type, généralisé des deux précédents : intégrales dans
lesquelles la fonction sous le signe / est prise le long d’une courbe
unicursale.
(Compléments, p. 24*.)
.f, A-,»t-.'),,'