POTENTIEL NEWTONIEN D’UNE CIRCONFERENCE 37
qu’on peut écrire :
' àW
ou enfin :
2 \Ja 2 (sin 2 fi* -|- cos 2 fi*) — p 2 sin 2 fi' ’
2 v/a 2 cos 2 fi' + (a 2 — p 2 ) sin 2 fi'
On peut donc poser, en se souvenant de la définition de la fonc
tion z :
Y = cp[a,,V / a 2 — p 2 ]-
Or, on a vu que :
Y = 'f(MÀ, MB) = cp (a — p, a + p’
Donc :
? ( a — P> a + ?)= ? [a, \/a 2 — p 2 J•
Remarquons que a est la moyenne arithmétique des deux quan
tités a — p et a -J- p et que v^r — p 2 en est la moyenne géomé
trique ; on peut donc écrire en général :
? (a, b) = z (a„ bj = z (a„ b,) == ... etc.
en posant :
C’est la une propriété fondamentale de la fonction z.
Remarquons que la moyenne géométrique est toujours infé
rieure a la moyenne arithmétique. Or, supposons a>b, ce qui
est toujours possible, puisqu’on peut intervertir ces deux quan
tités sans changer la valeur de z ; nous aurons :
etc. ;