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g. 1) Leur
> le calcul
du faisceau
passant
hérente
SD...avec
bcd...
éterminer
lei, 3j, k,
Lyons avec
terrain.
fig. 2) -
de points
été éven-
La méthode de calcul de l'intersection comprend les opérations suivantes (fig. 3):
- calcul de l'altitude moyenne de la surface topographique et des coordonnées planimétriques de
l'intersection M, du rayon perspectif avec le plan horizontal situé à cette altitude,
- recherche des quatre points cotés les plus proches (1) de M
situés dans chacun des quatre
quadrants,
1°
- détermination de l'équation du plan passant au mieux (au sens des moindres carrés) par ces
quatre points d'appui et caleul de l'intersection du rayon perspectif avec ce plan. On obtient ainsi
les coordonnées X, Y, Z du point de contrôle M, cherché. On a vérifié, dans chaque cas, que les
coordonnées planimétriques de M, ne diffèrent pas sensiblement des coordonnées de M, (sur plan
horizontal moyen), utilisées pour chercher les quatre points d'appui les plus proches de M
il y aurait eu lieu de refaire le calcul d'intersection en partant de Ma.
9. Sinon
Fig. 2
Deux remarques sont à faire concernant cette chaîne de traitements :
1°/ La méthode d'orientation du faisceau perspectif dans l'espace utilise comme point d'appui des
points-carte. La vérification de la validité de l'orientation (opération b/) n'est donc en réalité qu'un
contrôle de cohérence interne entre les points d'une même carte. La détermination des points "'de
contrôle'' n'est, elle aussi, qu'un contrôle de cohérence (ou d'homogénéité) entre les points d'appui
et les points de contrôle, tous issus d'une même carte.
Cette notion de cohérence interne, limitative par rapport à la cohérence 'absolue'' de la
carte avec le terrain, est néanmoins fondamentale dans la mesure où de trop fréquents défauts de
cohérence à l'intérieur d'une même feuille ont été mis en évidence.
L'origine de ces défauts de cohérence interne réside probabl ement dans de mauvais rac-
cords entre couples, dûs à des défauts de réglage, à des déformations, à des distorsions, etc...,
au moment de la restitution ancienne. L'intérêt de la nouvelle couverture photographique est pré-
cisément que le nouveau découpage entre couples n'est en général pas identique à l'ancien et qu'une
même photo peut chevaucher trois couples anciens et permettre de déceler des raccords défectueux.
La même notion de cohérence interne permet également de déceler d'éventuelles dégrada-
tions de phases situées en aval de la restitution (ex. complètement topographique) qui ne sont pas
(1) Pour des raisons de simplification d'algorithme, la norme de 'distance' adoptée n'est pas
euclidienne, mais égale à |A X| + |AY|.
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