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al définies à
microdensito-
oduit une
certaines
Nous sommes déjà en mesure de préconiser un effort d’échantillonnage
plus intense dans la pessière à épinette noire à Pleurozium schreberi et Ledum
groenlandicum et la bétulaie à bouleau glanduleux, que dans la toundra à
lichens. La dispersion des valeurs microdensitométriques (dans le cas de 20
classes) est nettement supérieure dans les deux premières formations que dans
la dernière, au contraire très homogène (tableaux 4a et 4b).
divise en trois
3) correspon-
ur microdensi-
continue
(buissons de
se (pessière
SS
Total
857
857
2
857
smp le), et
de 10 en 10 %
snte au long
itrement dit,
analysée par
tant le nombre
/sionomie de
métriques
taillé,
t le terrain,
servée au
ztement reliée
TABLEAU 4a : Dispersion des valeurs microdensitométriques
pour la pessière à épinette noire.
TABLEAU 4b : Dispersion des valeurs microdensitométriques
pour la toundra à lichens
Ceci est à mettre en parallèle avec deux caractéristiques fondâmes
taies du couvert végétal : la stratification verticale et la diversité
floristique. La pessière à épinette noire à Pleurozium schreberi et Ledum
groenlandicum présente une certaine complexité structurale avec la présence
d’arbres, d’arbustes hauts, d’arbustes bas (principalement des éricacées) et
une strate muscinale continue. La toundra à lichens par contre, est très
simplifiée. On n’observe pratiquement plus qu’une seule strate dominée par
les lichens dans lesquels s’imbriquent quelques arbustes très ras.
Il en est de même pour la diversité floristique : nous avons
dénombré 41 espèces dans la pessière, contre 26 pour la toundra.