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Full text

Title
Quatrième Congrès International de Photogrammétrie
Author
Roussilhe, Henri

Quatrième séance
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M. von Gruber pense qu’il ne peut s’agir que de prendre position au
sujet du résumé oral qui en a été donné. Il propose que la Commission
prenne note du rapport oral.
M. Schneider, à la suite des observations de M. von Gruber. selon
lesquelles on n’a pas eu le temps de discuter différents points du Rapport
de la Commission, celui-ci ayant paru trop tard, propose que :
« Les Sociétés nationales veuillent se déclarer, après étude du Rapport
et par lettres à adresser à la direction de la Société Internationale de Pho-
togrammétrie, en faveur du maintien ou du rejet des principes qui y sont
exposés ».
M. Zelleii, s’adressant à M. von Gruber, expose qu’il a voulu traiter
dans son Rapport tous les points utiles qui serviraient de base à une
discussion fructueuse. Il regrette que M. von Gruber, qui soulève main
tenant des objections, ne les aient pas exprimées plus tôt. Il répète que
tous les rapports nationaux et tous les rapports spéciaux ont été pris en
considération lors de la rédaction du projet de résolution présent, mais
qu’il est disposé à modifier le texte relatif aux « principes » si cela peut
donner satisfaction à M. von Gruber.
M. von Gruber demande que le point 4 soit également supprimé, celui-
ci n’étant pas justifié par la discussion. Au contraire, M. Santoni a montré
la valeur d’un pholothéodolite qui n’est pas un théodolite à la seconde.
11 résulte également de l’exposé de M. R. Finsterwalder que le théodolite
à la seconde n’est pas nécessaire. Cette résolution serait encore uniquement
une recommandation en faveur des instruments d’une maison particu
lière.
M: Raeschlin, Président, déclare n’être pas d’accord avec M. von
Gruber. Il résulte de la discussion qui a eu lieu à ce sujet que, pour bien
déterminer les points du lever, il est nécessaire que la chambre soit rigou
reusement orientable.
M. von Gruber précise que, de son expérience personnelle et de celle
de M. R. Finsterwalder, il résulte qu’une mesure exacte de la convergence
n'est pas nécessaire dès que, comme il est recommandé, on dispose de
points de contrôle.
M. Favre estime que le théodolite à la seconde peut être d’un grand
secours s’il s’agit de levers convergents, pris en général de bases indirectes,
et dont il est désirable de connaître la convergence à quelques secondes
près.
M. Schneider, en prenant part à cette discussion, tient à déclarer à
l’avance que ce n’est pas dans l’intérêt de la maison Wild qu’il défend
le point de vue suivant : la combinaison d’une chambre photographique
avec un théodolite cà la seconde est un progrès qu’on est obligé de recon