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Commission 2 
croquis de report et note les autres sur un bloc-note fixé au pupitre entre 
le dessinateur et lui. Il complète même ceux-ci par l’inscription du numéro 
d'ordre et des coordonnées du point principal du cliché. 
L’identificateur marque en même temps à l’encre sur le cliché (côté verre 
ou gélatine) la direction du Nord géographique. Afin de simplifier le travail 
manuel d’établissement du croquis de report, chaque cliché est représenté 
par la position de l’un de ses angles et son numéro d’ordre. L’un des 
clichés de la mission est porté en entier pour donner la mesure. Les sur 
faces restantes des clichés réduits ou cassés sont reportés intégralement. 
Tout travail de recherche d’identification étant dès lors terminé, le 
cliché est glissé vers le dessinateur pour faire place à la vue suivante. 
11 est à remarquer que, pendant l’exécution de cette identification, le 
cliché est resté devant l’éclaireur sans avoir subi aucune manipulation. 
L’identificateur a simplement marqué à l’encre sur le côté verre (tourné 
vers lui) la direction du Nord géographique. 
Le dessinateur pose la vue à marquer sur l’un des cadres marqueur^ 
(verre ou film) et y inscrit tous renseignements utiles. 
Le cadre marqueur pour film est placé sur le châssis d’inspection, le 
cadre pour cliché sur verre est fixé sur le plateau de la table à pupitre 
(fig. 1). Le cadre pour film est composé très simplement d’un dépoli support 
et d’un cadre métallique presseur. Il est éclairé par un éclaireur du modèle 
standard. Un seul éclaireur est en service pour les deux cadres marqueurs. 
Le marquage sur film se fait entièrement sur la face non émulsionnée. 
De cette façon, les lettres sont inscrites normalement, ce qui facilite le 
travail et réduit considérablement le temps d’inscription. 
Le cadre marqueur pour verre est constitué par un châssis (en 
castré dans le plateau de la table) supportant une glace dépolie sur 
laquelle repose le cliché. L’éclairage se fait par transparence. Un couvercle 
à charnières recouvre le dépoli et permet de maintenir le cliché immobile 
pendant les opérations de marquage. L’épaisseur de ce couvercle est sen 
siblement égale à celle de la moyenne des clichés (2 à 3 mm.), de façon à 
ne créer aucune saillie importante et à éviter ainsi toute fatigue de la main 
au cours du marquage. 
Entre le couvercle et la glace passe une bande de cellophane transpa 
rente et impalpable, destinée à recevoir les inscriptions autres que celle de 
l’indication de l’orientation des axes des coordonnées principales. Cette 
bande sort d’un rouleau fixé sur le plateau à la gauche du cadre marqueur. 
Ha largeur est de 12 mm. et sa longueur de 10 m., ce qui correspond au 
marquage de 50 vues environ. Toutes les vues (13 x 18 ou 18 x 24) sont 
marquées sur l’un des côtés de 18 cm. Le marquage des vues 18 x '24 est