Retrodigitalisierung Logo Full screen
  • First image
  • Previous image
  • Next image
  • Last image
  • Show double pages
Use the mouse to select the image area you want to share.
Please select which information should be copied to the clipboard by clicking on the link:
  • Link to the viewer page with highlighted frame
  • Link to IIIF image fragment

Communications

Access restriction

There is no access restriction for this record.

Copyright

CC BY: Attribution 4.0 International. You can find more information here.

Bibliographic data

fullscreen: Communications

Monograph

Persistent identifier:
84214708X
Author:
Poivilliers, Georges
Title:
Communications
Sub title:
présentées au VIe Congrès International de Photogrammétrie, La Haye, Septembre 1948
Scope:
30 Seiten
Year of publication:
1950
Place of publication:
[Paris]
Publisher of the original:
Archives Internationales de Photogrammétrie
Identifier (digital):
84214708X
Illustration:
Illustrationen, Diagramme
Signature of the source:
T 15 B 1251
Language:
French
Additional Notes:
Die Vorlage enth. insgesamt 3 Werke: Le stéréotopographe Poivilliers-Som type B ; Formation de l'image plastique dans les appareils de restitution ; Remarques sur la restitution des radiographies
Other Title:
Enthaltendes Werk: Le stéréotopographe Poivilliers-Som type B
Enthaltendes Werk: Formation de l'image plastique dans les appareils de restitution
Enthaltendes Werk: Remarques sur la restitution des radiographies
Usage licence:
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Publisher of the digital copy:
Technische Informationsbibliothek Hannover
Place of publication of the digital copy:
Hannover
Year of publication of the original:
2015
Document type:
Monograph
Collection:
Earth sciences

Section

Title:
LE STÉRÉOTOPOGRAPHIE POIVILLIERS-SOM TYPE B
Document type:
Monograph
Structure type:
Section

Section

Title:
JUSTIFICATION DU PRINCIPE ADOPTÉ POUR LES STÉRÉOTOPOGRAPHES POIVILLIERS- SOM TYPE B
Document type:
Monograph
Structure type:
Section

Contents

Table of contents

  • Communications
  • Cover
  • ColorChart
  • Title page
  • LE STÉRÉOTOPOGRAPHIE POIVILLIERS-SOM TYPE B
  • LES NOUVEAUX STÉRÉOTOPOGRAPHES POIVILLIERS - SOM TYPE B PARTICULARITÉS
  • I. - PRINCIPE ET DESCRIPTION GÉNÉRALE
  • II. - PARTICULARITÉS DU STÉRÉOTOPOGRAPHE TYPE B
  • JUSTIFICATION DU PRINCIPE ADOPTÉ POUR LES STÉRÉOTOPOGRAPHES POIVILLIERS- SOM TYPE B
  • FORMATION DE L'IMAGE PLASTIQUE DANS LES APPAREILS DE RESTITUTION
  • REMARQUES SUR LA RESTITUTION DES RADIOGRAPHIES
  • Cover

Full text

— 18 — 
goniomètres panoramiques associés à un mécanisme matérialisant une solution géométrique 
spatiale du problème de la restitution. 
L’étude critique de cette solution conduisit, dès 1921, à abandonner ce projet et à 
adopter le principe de la matérialisation de constructions géométriques planes, intégralement 
conservées dans le type B, quoique cette dernière solution puisse sembler au premier 
abord plus compliquée que la première. Dans la solution spatiale, en effet, on maté 
rialise le triangle constitué par les deux points de vue et le point restitué; dans la 
solution du stéréotopographe, on matérialise deux triangles, projections du précédent 
sur deux plans perpendiculaires, et les solutions graphiques de la relation tg i = tg ï cos a. 
Mais : 
o) dans la matérialisation plane, adoptée dans le stéréotopographe, la projection de chaque 
point de vue est définie par l'axe d'un cylindre rectifié, dont la stabilité de position 
est de l’ordre du micron; la projection du point restitué est définie par l’axe d un 
roulement à billes sélectionné dont la stabilité est du même ordre. 
Dans la matérialisation spatiale, chaque point de vue et chaque point restitué sont 
définis par l’intersection de deux axes rectangulaires dont il est difficile d assurer et de 
maintenir la rencontre avec la même précision. De plus, il est non moins difficile d assu 
jettir l’axe de la tige qui matérialise les rayons perspectifs à rencontrer rigoureusement 
les quatre axes qui matérialisent ces deux points. Il s’en suit que chaque point de vue 
et le point restitué sont très difficilement définis avec une précision égale à celle obtenue 
dans le cas de la matérialisation plane. 
b) Dans la matérialisation plane, les projections des rayons perspectifs sont définies par 
la trajectoire de l’axe du roulement à billes qui se déplace sur la face dressée plane 
d’une règle en acier inoxydable. La précision de planéité de cette règle est de l’ordre 
du micron. Sa face de guidage est verticale; elle reste donc plane malgré les flexions 
dues à la gravité. L’utilisation d’acier inoxydable et du roulement permet de travailler 
« à sec », c’est-à-dire sans interposition d’une couche d'huile qui, agglomérant les 
crasses, n’est jamais d’épaisseur régulière; la planéité du guidage est donc conservée. 
Enfin le grand moment d’inertie de ces règles (dû à leur largeur) et le faible effort 
résistant qu’elles ont à vaincre dans leur pivotement (couple de quelques grammes- 
centimètre) rend négligeable leur flexion due à l’effort moteur. 
Dans la matérialisation spatiale, les tiges cylindriques subissent des flexions de gravité 
qui nuisent à la rectitude du rayon perspectif matérialisé. De plus, ces flexions sont variables 
en grandeur et direction, par suite de la variation de la position relative des points sur 
lesquels elles reposent (point de vue et point restitué). Enfin leur diamètre pouvant diffici 
lement atteindre la largeur des règles planes, leur moment d'inertie dans le sens du couple 
résistant à vaincre est moindre que celui de ces dernières. 
La perfection de rectitude des rayons perspectifs est donc plus difficile à réaliser que 
dans le cas de la solution plane. 
c) Dans les deux systèmes, on est conduit à dédoubler l’articulation matérialisant le point 
restitué, la pièce qui porte ces articulations doit donc se déplacer parallèlement à 
elle-même. Un défaut de translation entraîne une erreur dans la position relative de 
chacune des articulations dédoublées par rapport au point de vue correspondant. 
Dans la matérialisation plane adoptée dans le stéréotopographe, la distance mutuelle 
des articulations dédoublées et leur distance aux surfaces de guidage des chariots est 
inférieure à l’empattement de ceux-ci; il s’ensuit que les défauts de position de ces arti 
culations par rapport aux pivots matérialisant les projections des points de vue sont au 
plus égaux aux erreurs de rectitude des guides. 
Dans la matérialisation spatiale, la distance mutuelle des articulations dédoublées et 
leur distance aux surfaces guides des chariots est presque obligatoirement supérieure à
	        

Cite and reuse

Cite and reuse

Here you will find download options and citation links to the record and current image.

Monograph

METS MARC XML Dublin Core RIS Mirador ALTO TEI Full text PDF DFG-Viewer OPAC
TOC

Section

PDF RIS

Image

PDF ALTO TEI Full text
Download

Image fragment

Link to the viewer page with highlighted frame Link to IIIF image fragment

Citation links

Citation links

Monograph

To quote this record the following variants are available:
Here you can copy a Goobi viewer own URL:

Section

To quote this structural element, the following variants are available:
Here you can copy a Goobi viewer own URL:

Image

To quote this image the following variants are available:
Here you can copy a Goobi viewer own URL:

Citation recommendation

poivilliers, georges. Communications. Archives Internationales de Photogrammétrie, 1950.
Please check the citation before using it.

Image manipulation tools

Tools not available

Share image region

Use the mouse to select the image area you want to share.
Please select which information should be copied to the clipboard by clicking on the link:
  • Link to the viewer page with highlighted frame
  • Link to IIIF image fragment

Contact

Have you found an error? Do you have any suggestions for making our service even better or any other questions about this page? Please write to us and we'll make sure we get back to you.

What is the first letter of the word "tree"?:

I hereby confirm the use of my personal data within the context of the enquiry made.