Quatrième Congrès International de Photogrammétrie

Roussilhe, Henri

Bibliographic data

Monograph

Persistent identifier:: 842152784

Title:: Quatrième Congrès International de Photogrammétrie

Sub title:: tenu à Paris du 26 Novembre au 1er Décembre 1934 ; procès-verbaux des séances des commissions

Scope:: IV, 396 Seiten

Year of publication:: 1936

Place of publication:: Paris

Publisher of the original:: Section Laussedat de la Société française de Photographie et de Cinématographie

Identifier (digital):: 842152784

Illustration:: Illustrationen, Diagramme

Signature of the source:: RA 5295(4)

Language:: French

Usage licence:: Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)

Editor:: Roussilhe, Henri

Corporations:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Adapter:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Founder of work:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Other corporate:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Publisher of the digital copy:: Technische Informationsbibliothek Hannover

Place of publication of the digital copy:: Hannover

Year of publication of the original:: 2015

Document type:: Monograph

Collection:: Earth sciences

Chapter

Title:: COMMISSION 3 [(Exploitation topographique des photographies aériennes)]

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Chapter

Title:: Troisième séance (30 novembre 1934)

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Chapter

Title:: LES TRAVAUX EXECUTES PAR L’ORGANISATION DE LA S. A. R. A. AVEC LE PHOTOCARTOGRAPHE NISTRI. [U. NISTRI]

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Troisième séance 171 stratioi) renvoyons le lecteur aux relations communiquées sur ce sujet par la Direction Générale du Cadastre à ce Congrès. La Direction Générale du Anciens Cadastre, laquelle représente sans doute une des plus grandes organisations topographiques qui existent aujourd'hui, n’aurait pu montrer un si grand lissaire, a, soit Garro- iourbes intérêt à ces nouvelles méthodes si toutes les garanties pour que ies cons tatations soient probantes de la façon la plus complète n’avaient pas été prises à l’avance. Une Commission spéciale a pourvu à cela, comprenant des délégués du Conseil National des Recherches et présidée par l’illustre our les Directeur Général du Cadastre, M. Alfredo Grandi, ingénieur lui-même, fort d’une longue expérience personnelle topographique et cadastrale et iverna- f.C. de par conséquent à même d’apprécier à sa juste valeur les possibilités pra tiques des nouvelles méthodes. Ces résultats aussi, obtenus aux échelles de 1/1.000 et 1/2.000 ont 3 orga- de la la elle- r de la complètement confirmé la valeur de la méthode, et son extension, déjà réalisée, à l’exécution du lever de toute une province démontre que l’aéro- photogrammétrie, et plus exactement la méthode Nistri, est désormais considérée comme définitivement acquise à la pratique normale du travail. Pour les critiques et les zélés de la photogrammétrie, comme en tout autre domaine, il existe en photogrammétrie aussi un certain nombre de 500 et i et de ate un •ne est tonna- prémisses pour les vérifications, qui sont les travaux exécutés et les résultats acquis. Ils ne peuvent que confirmer l’exactitude des conceptions fondamentales qui président à sa réalisation. » ★ ★ irogra- avan- M. Dore présente ensuite une note concernant le Stéréocartographe in que ion de Santoni Modèle 111, en mettant en lumière les différences entre le modèle III et le modèle II, lequel est déjà, depuis plusieurs années, en service à l’Institut Géographique Militaire de Florence. Des études relatives à cet , mais irmule appareil sont également en cours à l’Institut de géodésie de l’Institut Supérieur d’ingénieurs de Bologne : allons *enant STEREOCARTOGRAPHE SANTONI MODELE III « Le Stéréocartographe Santoni (fig. 1), construit par les « Officine riques Galileo » est un appareil restituteur pour photogrammétrie de type univer sel, c’est-à-dire qu’il peut pourvoir à la restitution soit de vues prises par npor- nous avion, soit de vues prises avec un photothéodolite. Les appareils restituteurs photogrammétriques utilisent des couples de clichés, sur lesquels ont été photographiés les mêmes détails du terrain , n’ont, es font (stéréogrammes conjugués) (fig. 2), vus de deux points différents (la posi tion des objectifs à l’extrémité de la base photographique). Ces clichés,

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