Quatrième Congrès International de Photogrammétrie

Roussilhe, Henri

Bibliographic data

Monograph

Persistent identifier:: 842152784

Title:: Quatrième Congrès International de Photogrammétrie

Sub title:: tenu à Paris du 26 Novembre au 1er Décembre 1934 ; procès-verbaux des séances des commissions

Scope:: IV, 396 Seiten

Year of publication:: 1936

Place of publication:: Paris

Publisher of the original:: Section Laussedat de la Société française de Photographie et de Cinématographie

Identifier (digital):: 842152784

Illustration:: Illustrationen, Diagramme

Signature of the source:: RA 5295(4)

Language:: French

Usage licence:: Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)

Editor:: Roussilhe, Henri

Corporations:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Adapter:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Founder of work:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Other corporate:: International Congress of Photogrammetry, 4, 1934, Paris; International Society for Photogrammetry

Publisher of the digital copy:: Technische Informationsbibliothek Hannover

Place of publication of the digital copy:: Hannover

Year of publication of the original:: 2015

Document type:: Monograph

Collection:: Earth sciences

Chapter

Title:: COMMISSION 2 [(Prises des photographies aériennes)]

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Chapter

Title:: Deuxième séance (29 novembre 1934)

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Chapter

Title:: LES CONDITIONS GENERALES DE LA PRISE DES VUES AERIENNES. [H. BALLEYGUIER]

Document type:: Monograph

Structure type:: Chapter

Deuxième séance 71 primitivement fixés. L’interprétation, suivant laquelle un lever fait avec une chambre photographique quelconque peut servir à confectionner une carte ou un plan à n’importe quelle échelle, ne correspond pas à sa manière de voir. En Suisse, des levers aériens sont exécutés avec une ,chambre stéréométrique de format 13/13 ou 10/15, de 165 mm. de focale, pourvue d’un objectif parfaitement corrigé et très lumineux. Les plaques en verre à glace, portent une émulsion très fine. L’échelle du lever, en vue de la restitution et du redressement à l’échelle du 1/25.000, est d’environ 1/12.000. Grâce aux qualités de la chambre stéréométrique employée, on pourra utiliser les levers, non seulement pour le but direct de la mise à jour de la carte au 1/25.000, mais pour d’autres buts, par exemple: plans à l’échelle 1/5.000 pour avant-projets techniques, redressements pour plans photo graphiés urbains à l’échelle du 1/5.000, plans urbains d’aménagement, plans cadastraux pour détermination de la couverture du sol, etc... En résumé, la gamme des échelles possibles de restitution pourra varier entre 1/2,5 et 4 fois l’échelle du lever original; ceci, bien entendu, à la condition d'avoir un lever original fait dans de bonnes conditions avec une chambre stéréométrique de grande précision. On passe ensuite à la discussion sur : LA GAMME DES DISTANCES FOCALES A EMPLOYER M. Clerc : Au cours de la visite faite hier matin au Service Géogra phique de l’Armée, M. Poivilliers a présenté des tableaux d’essais com paratifs d’objectifs de diverses focales, et notamment des essais d’un objectif f = 125 mm., ouverture 1/14, qui pouvait donner de bons résultats sur plaque 13 x 18. Si les premiers résultats sont confirmés, M. Poivilliers montera vraisemblablement cet objectif sur son appareil quadruple. M. Poivilliers : La distance focale n’est pas la seule donnée intéressante en photogrammétrie aérienne. L’échelle des clichés, l’ouverture de l’objectif, la déformation du support d’émulsion, sa finesse, la surface couverte au sol, l’altitude de prise de vue ont aussi leur importance. Tout se tient, et le problème est complexe : 1° Echelle des clichés. Dans l’état actuel des choses, il ne semble pas que l’échelle des vues destinées à un but topographique puisse descendre au-dessous de 1/40.000, ou alors il faudrait une netteté inférieure nu 1 /30 de mm. En effet, au-dessous de cette échelle, on perçoit encore la forme du terrain, mais une grande quantité de détails planimétriques,

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