WÊÊÊÈSÈSm
Soit (fig. 3) T un volume attirant, dYun élément de ce volume,
P son centre de gravité, a la distance de P à l’origine O des
coordonnées, M le point attiré, r la distance PM et p la distance
OM. On a :
a < r < p -f- a,
et, par suite, on peut poser :
r == p +
0 étant compris entre —1 et —|— 1.
Le potentiel Y a pour expression :
Formons le
(4)
les intégrales étant étendues au volume T.
De l’égalité (4), on tire :
Ç p/9adx
On voit sans peine que le second membre de cette dernière
égalité tend vers 0 quand p augmente indéfiniment. On a
donc :
en appelant M la masse attirante totale.
Le raisonnement s’étend sans aucune modification au cas d’une
surface attirante, d’une ligne attirante ou d’un ensemble de
volumes, de surfaces et de lignes.
8. —Passons au cas du potentiel logarithmique dans le plan.
Soit S une surface plane attirante. Le potentiel Y en un point M