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Commission 4 
ces qualre repères est constitué par une croisée de traits gravés dans un 
verre serti dans une armature métallique dont la surface postérieure sert 
d’appui à la plaque. Ces repères sont éclairés par une lampe qui permet 
l'impression des repères sur le cliché (voir fig. 5, 6 et 7). Le centre 
de plaque, défini par le croisement des axes de plaques, joignant deux à 
deux les images des repères opposés, doit coïncider avec le point principal. 
Les repères sont réglables individuellement en usine au moyen de vis 
antagonistes. Un cadre mobile lié à la chambre photographique par un 
soufflet esl poussé vers l’avant par deux ressorts qui appuient la plaque 
sur les repères. 
Figure 5 
Un compteur et une lettre fixe permettent d’enregistrer, par contact 
sur chaque plaque, le numéro du cliché et celui de l’appareil utilisé (voir 
fig. 3 et 5). 
Un des tourillons de la chambre photographique est solidaire d’une 
alidade se déplaçant le long d’un cercle vertical. Cette alidade porte deux 
verniers au 1/20 observés au moyen de deux loupes et permettant de lire 
la minute centésimale et la demi-minute centésimale à l’estime. 
Le support goniométrique, constitué par un trépied à vis calantes, porte 
un cercle horizontal pouvant être animé d’un mouvement général, et, par 
suite d’un bloquage, d’un mouvement particulier commandé par un 
bouton moleté. Le cercle gradué permet le repérage en azimut. Un niveau 
réglable permet le réglage de l’axe vertical. 
Le support goniométrique porte deux coussinets qui reçoivent les 
tourillons de la chambre. Les deux demi-coussinets supérieurs, montés à