Full text: Quatrième Congrès International de Photogrammétrie

Deuxième séance 
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seraient très pratiques. Au lieu de la longueur D, on pourrait aussi intro 
duire, en vue du calcul de O, les distances obliques S (voir la figure 2) 
comptées à partir de la station de prise de vues. La mesure de ces distances 
pourrait être faite avec des télémètres. 
La construction altimétrique que nous venons de décrire est effectuée 
avantageusement à même sur le cliché ou sur un agrandissement. On 
choisira donc un papier se prêtant au dessin et on travaillera directement 
sur la copie. Si l’on tient à la conservation de l’échelle, on trouvera dans 
le papier Agfa-Correctostat un matériel approprié. 
La construction altimétrique de l’objet peut être utilement étayée ou 
contrôlée par l’utilisation des propriétés géométriques des images à pro 
jection centrale. 
Le procédé en question présente l’avantage d’être très simple et à la 
portée d’opérateurs n’ayant pas reçu une formation photogrammétrique 
particulière ». 
(La communication de M. Zaar, dont on vient de lire un résumé suc 
cinct, a été illustrée par des exemples, en particulier des plans altimé 
triques). 
M. Zurbuchen pense pouvoir déduire de la discussion que la princi 
pale difficulté qui s’oppose à l’emploi de la méthode stéréophotogram- 
métrique est l’acquisition d’appareils de prise de vues et de restitution 
coûteux. — L’orateur pose donc la question de savoir si une collaboration 
des instituts publics de photogrammétrie architecturale avec des bureaux 
photogrammétriques privés ne serait pas possible. Ces bureaux possèdent 
des appareils qui sont loin d’être entièrement exploités, de sorte qu’ils 
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> 
Fig. 2
	        
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