TRIGONOMETRIE.
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log sìnici
7 r • » ,n tang-b tana*-h
-logisin ~ncos~h) cos C -
tang\ a
* 1 77, ... tanarrb
log cos~c—log[cos-a cos^h)~\ cosC-
cot^a icot'^a
2 lang 2} -a
tan g 3 4 b
■cos iC — etc.
-cos aC-j-etc.
Il est à remarquer ultérieurement que comme chacun des
triangles rectilignes dont nous Tenons de parler peut se
résoudre par le moyen d’un triangle rectiligne rectangle,
on peut directement réduire la résolution du triangle sphé
rique proposé à celle d’un triangle rectiligne rectangle.
On trouve par ce moyen que sin\c est l’hypoténuse d’un
triangle rectangle dont les côtés sont sin\ (a+ô) sin\C et
sm\ (a—U) cos 4 C. De même cos c est l’hypoténuse d’un
triangle rectangle dont les côtés seraient cos\ (a—U) cos 4 G
et cos 4 (u+ô) s in ~ C.
De plus , si on appelle M l’angle qui dans le premier trian
gle est opposé au côté sin 4 (a—è) cos\ C, et dans le second,
N l’angle opposé au côté cos 4 {a—b) cos 4 C , il résulte des
analogies de Néper qu’on aura
2
A+B
A+B
M, et — N ou
: 2oo°—N ; savoir
N si a —¡— ô < 2oo°, et
A+B
2 2
— 200°—N si a -+ b > 200°. Donc dans tout triangle sphé
rique où l’on connaît deux côtés a et b et l’angle compris C,
on peut trouver directement chacune des quantités 4 c,
A+-B A — 1 B
, , par la résolution d’un triangle rectiligne
2 2
rectangle où l’on connaît les deux côtés de l’angle droit.
Il x’ésulte aussi de là qu’apres avoir trouvé l’angle M ou
B
par la formule tang M :
sin 7 (ri! — b)
cot 4 C , on
a w sin y ( « + b )
peut calculer le troisième côté par la formule sin c =
sin y (a —■ h) cos ÿ C sin y ( a + b ) sin 4 G
sin M
cos M
N. B. Les formules trouvées dans ce paragraphe s’appliqueront
aisément à la résolution du cinquième cas des triangles sphériques ,
puisque celui-ci peut se rapporter au troisième par la propriété du
triangle polaire.