î 9 2 PREMIÈRE PARTIE.
autres me'thodes , semblait devoir être une transcendante beaucoup
plus compose'e.
(x36). Il re'sulte de cette solution que la série trouvée par la
première méthode,
4^0—5 P' —à p "“ etc.),
est susceptible d’être sommée à l’aide des fonctions elliptiques ;
et c’est ce qu’on peut vérifier directement de la manière suivante.
Considérons la fonction r(j’) ou simplement T, dont la valeur
développée serait
E =./ — g P > 3 - ~ 5T7 etc. ;
on aura par des différentiations successives,
de
dy
i dV
ÿ'dy
= i — - g P y - ~ P # y®—.etc.
j • $ =j. ■+ P'+ Py+ P'/ 4 + etc.
Mais si on remonte à l’origine des quantités P', P", P w , etc., on trou
vera que la suite ~ (i -J-P^*-f-P'j*-J- P®/ 6 -f- etc.) n’est autre chose
que l’intégrale prise, depuis <p=o jusqu’à (p= j nt, de la différentielle
. . dp dtp
dv(i+pr + pY+pY + etc.) = i_(isin‘?+scos“?)y*'
Cette intégrale a pour valeur
ijT
l/CC 1 — <y 2 ) C 1 “ !y 2 )] 4.
Donc si on fait pour abréger, R= [/[i -—( cT-f- e <% 4 ],
on aura
i c?r i i
ÿ'fy y’
d’où résulte en multipliant par dj et intégrant,
1 £[ __ C— ÈL — A CÏÈL
y * dy J fK—y aé J R *
Multipliant