DES QUADRATURES.
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On connaîtra donc avec le degré d’approximation qu’on voudra,
l’intégrale Z ou la quantité que nous avons désignée par U (a).
Réciproquement, comme la valeur de l’intégrale T' (ot) est connue
fdq> cos* 2 <p cos ( cl tang <p — et<p) = Q (a) ,
on aura
ce qui donne l’intégrale
(40- Celte formule étant indépendante des suites , doit avoir lieu
quel que soit et, pourvu qu’il soit positif; on connaîtra donc Q(a)
dans tous les cas où E(a+i) est connu; ces cas sont ceux où 2ct est
un nombre entier.
Ainsi en faisant successivement a = i, 2, 3, 4 > etc * y on aura
De même, en faisant et = |, |, etc., on aura
2_ 3 5
a J zi zi
etc., on aura
1
5
En général, si dans la valeur de Q (*) on substitue la valeur connue
de F(a+ 1) développée en série, on aura
etc.). (5)
Q ( a ) —
I
12a
Mais cette formule suppose et > 1, et elle donnera un résultat
d’autant plus exact que et sera plus grand. Lors donc qu’on pourra