358 TROISIÈME PARTIE.
en faisant xs= —, on a Z = ^7f — ^, ou simplement Z=|tt;
donc A + B = ^ tt.
Je suppose maintenant qu’on donne à a des valeurs de plus en
plus grandes; puisque cos ax est toujours plus petit que l’unité,
. r dx .
on aura toujours Z < / ——— ou Z<4 tT. Mais si A n’était pas zéro,
%) 1 "j 0000
la valeur Ae a -f- Be — % lorsque a est devenu un nombre très-grand,
se réduirait à Ae a , quantité infiniment plus grande que \ tt ; donc
on a généralement A = o ; donc B = j at , et enfin l’intégrale
cherchée
/
dx cos ax
x -{-xx
4 ‘7(e~ a .
Si dans celte formule on met — au lieu de x, et am au lieu de a 3
m 3 3
on aura plus généralement
/
dx
7U 2 -f- X*
7T
2,m
(0
et cette formule étant différentiée par rapport à a, en donne une
seconde non moins remarquable, savoir,
/
xdx sin ax
m* -f- x 2
7T
2
e~ am .
w
(45). Si on différentie par rapport à m la formule (1), et qu’on
répète les différentiations , on aura successivement
/
/
f
dx cos ax
(m* + x 2 ) 2
dx gos ax
(ni* + a; 2 ) 3
dx cos ax
(m*+x*y
etc.
La loi de ces expressions est facile à trouver, et si l’on fait en
général,
dx cos ox A* 7re~ am
* o* 9
f
(m 2 + x 2 Y
1.2.3 .../<■
le coefficient A* aura pour valeur