PREMIÈRE PARTIE.
1)2
precedentes 9
cos (a)+4) = cos(A — y-) — [i + A(<p)]
cos (a> — 4) = cos(A + /t) +^'° y y
Les données immédiates étant ot, £, cT, e , on en déduit A et fx par
les équations F (A) = F (£) — F (a), F (/¿) = F ( g ) — F (J ), qui
donnent
sin A =
sin C cos üA (í¿) — sin et cos CA (C)
i ■— c 2 sin e¿ sin a £
Sin JX
sin S COS è'A(J'~) ■— sin tí’ COS S A (g)
i — c 2 sin i- ein z e
La valeur de M est donc connue, ensuite on déduira sin (p et A (jp)
de l’équation F (<p) =F (A) + F (/a) , qui donne
sin h cos (¿A (¿¿) -f- sin y. cos KA ( a)
i -- c 2 sin 2 //. sin 2 A
A (/u.) A (a) — c 2 sin A sin ¡J.: cos A cos
i — c 2 sin 2 //, sin 2 A
Or les valeurs de sin A , cos A , A (A) sont données en fonctions
de £ et cl par les formules de l’art. 19 ; il en est de même des
valeurs de sin fx , cos /x, A Ç/x) exprimées en fonctions de g et ¿T.
On connaîtra donc toutes les quantités qui composent les valeurs
de cos (¿t) — 4) et cos (*>-{-’4').
Ce problème peut servir a en résoudre beaucoup d’autres, et
notamment à trouver un arc qui soit exactement dans un rapport
rationnel avec un arc donné; mais il faut pour cela que dans chaque
application les valeurs trouvées pour cos ( œ -j- ) et cos (o>—,
soient renfermées chacune entre les limites -f- 1 et — 1 ^ sans quoi
le problème deviendrait impossible.
sin (p ï=
A(<p) =
Comparaison des arcs d'hyperbole.
(Sy). Nous avons déjà trouvé (art. i3) que l’arc AM désigné par T.,
a pour expression
T = A tang <p — E (<p) + h*F (<p).