QUATRIÈME PARTIE. SECTION lî. i55
Celte formule pourra doue servir à déterminer S n s a dans le cas
où a — ;i serait très-petit par rapport à s -f- | n. Il faudra y substi
tuer les valeurs des coefficiens A', A f/ , etc. données par le déve
loppement indiqué. Ces valeurs sont A'= —, A r/ = y etc.
On en déduirait, par exemple.
if V J = 1.2.3 72 = F ( 72 -{- I ) ,
<f n s n + l = F ( n-\-2).{s-+-\n) ,
£n s n+* _ F ( r; 5 )
etc.
Mais ces cas ne sont que particuliers, et il convient de considérer
le problème sous un point de vue plus général.
(147). Soit Z= fx’-' dx(l^j , cette intégrale étant prise de
puis x = o jusqu’à x = 1 j si on fait x s — z , on aura la transfor
mée Z = fdz (l ~ J , laquelle devra être intégrée encore depuis
z = o jusqu’à z=i. On aura donc Z = s“" 1 F« , et de là,
fx 5 ~'dv(l -
# . \ .X'
W S_ ' = Fa
La puissance s~ a étant mise sous cette forme , il devient facile
d’exprimer aussi par une intégrale définie la différence n Ume de
s~~ a ; car en faisant varier s d’une unité , on a successivement
= x s ~ 1 (x-— 1 ) , cf z x s ~' — x s 1 (x— i) s , et en général (P n x s ~ 1
= x s ~ l (x — 1 )" ; donc la différence cherchée
(/) é'"s—foc-'dx ' (1 — x)".
{
x~o
X — I
Ainsi tout se réduit à évaluer dans les limites ¿c;=o, x= 1 ,
l’intégrale
Z' = fx s ~ 1 dx(l^[ l (i— x)%