m pair.
Gela posé, si l’on somme les suites contenues dans cette ex-
j 6/ t EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL,
a pour somme Z'(i — Z'(i+x). De là on tire aisément
(’7)
+
sin 9
[Z'(^)_Z'(2±1)]
sin 20 |
sin 30
i* PP)-” çsn
sin(n ,)0[z' ( a+an -')-Z'( a+ ' ! =i
)}
où l’on peut remarquer que «0 — tt étant de la forme 2Ætt, puis
que m est impair, on aura sin(/z—i)6=siu9, sin(/z—2)ô=siii2ÉI, etc*
Mais il ne résulte de là aucune simplification de la formule.
î6. Si m est pair, on aura cos/wr = i, et alors les diverses
suites qui multiplient sinô, sin 20, etc., dans la formule de l’ar
ticle 14, ont des sommes infinies. Mais il faut observer que dans
ce même cas on a sin(zz—i)0 =—sinG, sin(zz—2)8 =—sin20, elc.^
de sorte qu’en réunissant les termes également éloignés des ex
trêmes, la formule devient
TsinQ = sin 0
sin20
± sinÆ9
k est mis pour ------, car n doit être impair, puisqu’on suppose