transcendantes F-4, et on en tire, suivant la notation pré
cédente ,
— -|Z3 4“ lésines) ,
valeur qui s’accorde entièrement avec celle qu’on a déduite de
l’équation (E).
Ainsi le résultat qui avait été trouvé presque fortuitement par
des intégrations très-difficiles, est donné immédiatement par l’équa
tion (E). En général, il paraît que les seules réductions qui peuvent
avoir lieu entre les fonctions F, sont celles que donnent les équa
tions (C), (D), (E) et les suivantes, lorsque l’application peut
en être faite, à raison des nombres premiers qui sont diviseurs
de /2. Ces équations ont d’ailleurs l’avantage de conduire aux ré
ductions par la voie la plus simple et la plus courte, comme on
vient d’en voir un exemple ; elles paraissent donc ne rien laisser
à desirer sur la théorie des fonctions F.
(/p). Dans l’exemple dont nous venons de développer la solution,
le calcul nous a conduits à prendre Zi et Z2 pour les termes avec
lesquels on devait exprimer tous les autres. Mais Zi et Z2 étant
relatifs aux fonctions T-~ 9 T~ 9 il peut paraître plus simple de
prendre pour termes de comparaison les fonctions F4 et F Dans
cette hypothèse, il faudra exprimer Zi, Z2 et J Z5 par le moyen
de Z3 et Z4. C’est ce qu’on peut faire facilement, au moyen des
formules précédentes, et voici le résultat du calcul dans lequel
k
nous comprenons toutes les valeurs de log F —, excepté logF
IT\ + * rf - \Itt - '-l 2 4- |* 3 - il sin^,
2lTi — il* — il2 + 7*5,
■ IT j -f- '-Ivr 4- /2 — il 3 4- |Zsin
— IT \ 4- 4“ ^ 2 4“ i * 5 4” il
l F 4 4~ l 4” l 2 ““
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