IOO FONCTIONS ELLIPTIQUES,
qu’avec une règle générale annoncée par MM. Abel et Jacobi. Au reste,
de ces i transformations, il n’y en a, comme on voit, que deux de
réelles, les n-—i autres étant imaginaires; et puisque le nombre qui est n
en passant du module k au module k t , devient n*, /z 3 , tz 4 , etc., en passant
du module k aux modules suivans k % , k s , *4. etc., on voit que le nombre
des transformations imaginaires augmente d’une manière prodigieuse, à
mesure qu’on passe du module donné à un module de plus en plus éloigné
dans l’ordre croissant.