i54 FONCTIONS ELLIPTIQUES,
Considérons maintenant la fonction Z = T<p"—Ttp'—J'-ÿ,E<p''—J**^>E<p';
si l’on regarde a comme constant, on aura i/F(p' = dF<p , ou ^, = ^,
et semblablement — = ^ ; donc, Z = (E<p f/ — E<p'). Mais, par les
formules précédentes , on a
E(p" — E<p' = 2Ea — Æ a sin a sin (p (sin <p* -+• sin <p'),
2sin <p cos«Aa
sin <p" -f- sin <p' =
donc
-ft ( 2E *
i — k 2 sin 2 « sin 2 <p J
aÆ # sin a cosaAa.-
Sin 2 (p
L_ N
« sin* <p/ *
sin 2 «esin a ç)A(p ?
■à 2 sin 2 a sin* <p,
ou en réduisant,
Z = (aEa -f- acot aAa) F<p — acol aAa^ g .
donc on a la formule
T<p r/ — T<p' = aEaF<p — 2CotaAa[n(—Æ a sin a a, k, <p)— F(Æ, <p)],
à laquelle nous n’ajoutons pas de constante, parce que le second membre
s’évanouit lorsque <p=o; quant au premier membre, il devient Ta—T(—et).
Or, il est aisé de voir que l’intégrale T<p , qu on suppose prise
à compter de <p = o, reste le même quand on change le signe de <p,
et qu’ainsi T (p est une fonction paire de <p. Donc, Ta = T(—a), et
ainsi le premier membre se réduit encore à zéro, lorsqu’on a <p = o.
187. Nous parvenons ainsi directement à l’équation
.«n i cotaAct [n(—/c a sin*a., k, <p)—F(Æ, (p)]
1 V |=E a F{k, <p) —(£, <p")-KT(*, (p'),
qu’on aurait également trouvée, à l’aide des équations déjà démontrées,
cotaAa[IT(—¿‘sin 8 «*, k, <p)—F(Æ, <p)]
*)
log team »)- P(*, 4>) + i log . ^
En effet, puisqu’on a = F(A, <p), = F(A, a), il en résulte
=F(A, p) - F(/t, «) = F(A, 0'),
.K^+a) = F(;t) p) + F(/t> B) _
— Hog.
* & 0( i+û )>
Ci