TROISIÈME SUPPLÉMENT. 3 2 5
6.5o5o4 4 I 7°7 12
8.16845 194°? 64
9.62727 67796 81
3) 4-5°°77 28911 77
8.16845 17407 64
9.76405 265oo 9
4) 2.23325 74820 5
8.16845 19407 8
9.82705 35373 2
5) 0.22876 29601 5
8.ï6845 17407 6
9.86545 50954
6) — 8.26064 99965 3
>) =
0.
,18812
4o5i4
5656
2) —
3r
99220
4 7 58
0,
0
00
co
41294
0878
3)
19988
l634
61282
2512
4) -
171
IO29
61 T 1 I
1483
5)
I
6934
6) _
182
U =
0.
. 18780
61 l 12
8235
I
-54969
62777
47
4'£ =
I
.36189
01664
6465
4'a =
0
.60268
52966
6126
4', =
0
.95885
14594
40
2 .
,80342
69025
6S 9 .
On voit que la somme des trois fonctions 4^ -f- 4^ •+• ï est e gMe
à une constante qui coïncide presque entièrement avec la constante con
nue %j/i -f- 4 // z — 2.80342 69025 64; ainsi l’on aura exactement
^cl —4/(3 -f~ 4^ ~~~ 4 1 *4“ 4
314. Après tant d’exemples calculés avec beaucoup de précision pour
différentes manières de partager la fonction <px = 1 — x 5 en deux
facteurs, et pour tout nombre de termes admis dans le premier membre
de l’équation (5), depuis trois ou même deux jusqu’à /ll, /x pouvant être
aussi grand qu’on voudra, on voit que les résultats ont été constamment
conformes à la théorie que nous avons développée dans plusieurs points
principaux. Nous nous sommes attachés particulièrement à la plus simple
des fonctions ^x représentée sous les deux formes 4x = /i/o - *») et
4'x = f’ et nous av0ÛS prouvé que la somme de plusieurs
fonctions semblables, prises avec des signes que l’on peut faire varier
de toutes les manières possibles, est égale à une constante qui se com
pose toujours exactement des fonctions complètes 4 1 ? 4^ 05 qui sont des
transcendantes d’un ordre inférieur. Nous avons fait voir ensuite com-