PREMIER SUPPLÉMENT. 3g
rcibinaison des deux
)■
les deux équations
d’où résulte l’équa-
e donne p! = ~^j t ?
ërale pjxu' = i.
il faut éliminer
deux formules... .
ces deux équations
i — A* sin 9 <p),
irchée
art. 68, tome I er .
u premier théorème
Po s’exprime ration-
rationneliement par
, (p 00 °, etc., qui cor-
, dans nos nouvelles
amplitude affectée à
t par la tangente de
Mais sin <p° ne s’ex-
'F [k, cù) , qui se lie
k t , ¿y,), F (A:,, «,)
rationnellement par
¿y, o) t f , qui ré-
e sinus d’un terme
a premier terme 4,
nombre impair.
§ Y. Usage des deux théorèmes pour les transformations dé une
même fonction.
46. 11 s’agit d’abord de construire, d’après le module donné k, une
échelle qui réponde au nombre impair donné p, et que nous représen
tons ainsi :
1) • • • • A’3, k a , k t , k f h , A t , A a , A3.... (o
Pour former celte échelle, qui est commune aux deux théorèmes , nous
suivrons les formules du théorème I er ; elles supposent qu’on a calculé
d’avance, d’après le modale A, les amplitudes a,, ct p _ t , qui sa
tisfont à l’équation F (k , ct m ) = j- F7r. Ces amplitudes peuvent se trouver,
soit par les formules données dans le chap. YI, tome I er de notre Traité,
soit par les méthodes d’approximation données dans le tome II. Dans tous
les cas, il suffira de connaître le premier terme ct t , duquel tous les autres
peuvent être déduits par de simples formules trigonornétriques.
Connaissant les amplitudes a, on pourra calculer le module h et le régu
lateur f/j par les formules (3ga) et (3gA) , ou par celles des autres formules de
cette sorte qu’on voudra choisir; on aura ainsi l’équation F (A, <p)=^F(A,4);,
qui sert à transformer la fonction donnée F (k, (p) en une autre semblable ,
dont le module h sera toujours plus petit que k , comme le fait voir l’é
quation (3gA). Quant à l’amplitude 4 5 elle se déduit de l’amplitude don
née par la formule (3a), ou, si l’on aime mieux, par l’une des for
mules (36) et (37) ; mais, pour qu’il n’y ait pas d’ambiguité dans cette
détermination , il faut se rappeler que les amplitudes 4 et (p croissent
inégalement, à compter de zéro, suivant une loi manifestée par les équa
tions (3s) et (33). En vertu de cette loi,
les valeurs <P = o, a t , a a , ,
correspondent .aux valeurs. . 4 = 0 ? i'n’, tt, p.-~7r.
Ainsi, lorsque (p tombe entre a m et a w+l , la valeur de 4 doit tomber entre
m *\ et (w*+i)^; ce ne laisse aucune ambiguité dans la détermina
tion de l’angle 4 par son sinus. Il en est de même pour des amplitudes
plus grandes; car si une amplitude (p < \tt correspond à l’amplitude
4 il est visible que les amplitudes D.i.\ rt d= (p et 2Îp.^7rdtz^
se correspondent également, i étant un nombre entier quelconque.