s régulateurs ///, s’é-
PREM1ER SUPPLÉMENT.
nplément du module
s, etc., qui satisfont,
Au moyen de ces
théorème II offrent
la te u r j alors tout
co par le moyen de
)issent dans une pro-
rviennent simullané-
;ur multiple de ~tt
ladrant, et que leurs
insi la transformation
lé h est remplacé par
péralions pour rem-
lelni-ci par un mo-
idules occupent dans
nte Æ, k, k,, A- 9 , etc.,
issives de !a fonction
F (ky, co,) ,
in ordre inverse , les
e que son module h
de la série décrois-
3ulté que le change-
éorème 1 er . Les for
es croissans donnent
lient en même temps
Dans la marche in-
se faire que par des
et, d’un autre côté,
ution d’une équation
île de transformation
). Par de semblables
43
F {h, 4) = »'.F (h,, 4,), F(A,, 40 = /.F (A., 40, etc.,
de sorte que le module donné h sera successivement remplacé par les diffé-
rens termes de la série décroissante h, h x , /¿ 9 , etc.
On voit par là que le théorème II fournit une seconde solution du pro
blème dans lequel il s’agit de transformer une fonction donnée F (h, 4)
en une inimité d’autres qui aient pour modules les différens termes de la
même échelle déjà construite pour le module k, et correspondante au
nombre impair donné p. La transformation se fait immédiatement par les
formules du théorème II, pour passer du module h aux modules croissans
k, k x , Æ a , etc.; elle se fait avec moins de facilité, et en exigeant pour
chaque amplitude la résolution d’une équation du degré p, lorsqu’il s’agit
de passer du module h aux modules décroissans h x , \, etc. Mais, dans tous
les cas, la solution peut toujours se faire algébriquement, c’est-à-dire
par la résolution d’un certain nombre d’équations algébriques d’un degré
déterminé.
5o. Indépendamment de ces deux grands moyens de transformation qui
s'appliquent à tout nombre impair donné p, il en est un troisième qui par
ticipe des deux, et qui n’emprunte de chaque théorème que la partie la
plus facile, où il n’y a pas d’équation à résoudre pour passer de l’am
plitude de la fonction donnée à l’amplitude de la fonction transformée.
En effet, supposons que, par un procédé dont nous donnerons bientôt
les détails, on ait formé, d’après le module donné k, et dans telle étendue
qu’on voudra, l’échelle des modules
i ) «. • • k 3 -, A a , k x , k, h, à,, /¿ a , /¿3.... (o
qui répond au nombre impair donné p. On pourra, par les formules du
théorème I er , transformer la fonction, en la faisant passer du module k
aux modules décroissans h, h x , A a , etc. ; et, par les formules du théo
rème II, les transformations pourront être dirigées pour passer, avec la
même facilité, du module k aux modules croissans k t , /r 9 , k 3 , etc.
Dans ces deux séries de transformations, l’amplitude de chaque fonction
se déduira de l’amplitude de la fonction précédente, au moyen d’une for
mule (32) ou (44), dans laquelle le sinus inconnu s’exprime rationnellement
par le sinus connu. A l’égard des régulateurs qui servent à former les équa
tions F (k, (p) = (h, 4), F (h, 4) = ^iF (h x , 40, etc. , ils se déter
minent, soit par les formules propres au théorème I er , soit par les formules
plus simples ^i=-*g;, ^ == ^*h _ 2 ’ etc> Un aura de meme ?
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