76 FONCTIONS ELLIPTIQUES ,
ou, en remettant les valeurs de u et de v,
/ i 1 \ 4
/o \ ( A 4 -f- A 4 '
{020) 1 1
x -f- A
A 4 — A 4
i — A '
i — A
x -f- A*
Cette formule, pour le cas de/? = 5, a une analogie assez remarquable avec
celles qui ont été trouvées n° 85, pour le cas de p — 3.
g5. L’équation (82) étant du sixième degré, par rapport aux deux
quantités u et e, on voit qu’il faudra résoudre une équation de ce degré
pour déduire immédiatement le module h du module donné k, ou, ré
ciproquement , k de h j mais j’observe qu’en continuant le calcul pour
avoir les autres termes de l’échelle, soit dans l’ordre croissant, soit dans
l’ordre décroissant, on n’aura jamais qu’une équation du cinquième degré
à résoudre pour passer d’un terme au terme suivant. En effet, si de la va-
leur u=zy/k on a déduit la valeur v z=\/hz=: g, et qu’ensuite ,
de la valeur u = \/h = g on veuille déduire la valeur suivante. ...
4.
vz=z\/h l = g,, l’équation en v sera satisfaite en posant vz=. — de sorte
qu’en la divisant par v -J-jf, elle sera réduite au cinquième degré.
Cette propriété résulte de ce que, dans l’équation générale
u 6 — o 6 -f- (w a — t> a ) — \uv (ï — ¿¿V 4 ) = o ,
on peut changer à la fois u en v et v en — u.
La même réduction aura lieu lorsqu’on voudra prolonger l’échelle dans le
sens des modules croissans k, A:,, A a , etc.
96. Les formules précédentes donnent le moyen d’exprimer en fonctions
de a toutes les quantités constantes qui entrent dans les équations (78).
Nous avons déjà trouvé u=z—^— ; la valeur de A a se déduira de l’é-
J 1 1 -f- 2 a 7
quation A:* = mb*, qui donne
(83) ai* ,=(,+« a‘) :
de sorte que si l’on fait k = sin^, on aura
cos2 > = ( a ‘-a-,) v /(i±^),
ou plus simplement encore
(84)v
sin* 2y =
2 a 5 — a 6
1 -f- 2 a’
Soit a! une seconde auxiliaire tellement liée avec a, qu’on ait