DOUBLES COUCHES
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sentée par la fonction p u u/. Or, celle densité s’annule au point M u ,
car le plan tangent en M 0 étant le plan des xy, on a en ce point :
Pi = C I*
0;
nous sommes donc ramenés au cas étudié dans le paragraphe
précédent. Nous savons comment se comportent les dérivées
premières et secondes de V quand on franchit la surface en M # :
0Y . 0 2 Y . . . ...
reste continue ; A -■—> lait un saut brüsque égal a
0z
4-
OxOz
Pi P
et
.V Y
un saut brusque égal à 4
4t-
PiP
0x r Oyôz 1 n 0y ;
On peut donner ii ces discontinuités une expression très simple
en remarquant que p, et q, sont nuis en M 0 et qu’en ce point y'
est égal ii 1 ; on a :
4 Tc-
P,P
./ °Pi
Ox'
Ox'
; 4-' ab
et
4 «
P. P
W-?Pl
ôv'
Oy'
4tT!i/«
Ainsi donc, quand on traverse la surface en M () :
ÔV . OU
1° reste continu ; donc J, et, par suite, —— restent conti-
0 z ‘ ox
nues, Ce résultat était déjà connu (voir § 50).
„ ò*V 0J.. . . , , . , .
2° et, par suite,- ~■ lont un saut brusque égal a 4rex r ;
Ox Oz Ox
^ fait donc aussi un saut égal à '47cp/r r
Ox 2
O 2 Y . 0.1, _ 0 2 U r
3° et, par suite, ■ et entin -—r— lont un saut brusque
OvOz . Oy OxOy
égal à 4-iYsj.
OU
Les mêmes calculs appliqués à -y—nous auraient montré que
O 2 U
Ov
— fait un saut brusque égal à 4-nij/t,.