DOUBLES COUCHES
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d y
M tend vers M. du côté 2, —.— tend vers une limite -, - . On a
du dn,
, . dY 7 . .. . dV 7 dV 7
de meme pour —— des limites - et —-—-.
dn diij dn 2
Cela posé, dans le cas de la simple couche, on a les circons
tances suivantes :
1° Y reste continu.
2°
dV
dn
est discontinu
Y = V
i '2
dV dY
' dn.,
dn.
u. désigne ici la densité au point M 0 ).
:
d° Les dérivées tangentielles sont continues.
Le cas de la double couche présente les circonstances inverses :
i° Y 7 est discontinu Y 7 ., — \\ = 4tcjjl
o dV 7
¿° —j— est continu,
dn
dV 7
“(TnT
dY
TV
4° l^es dérivées tanoentielles sont discontinues.
O
Dans la formule Y 7 , — Y / 1 = 4t:u., nous supposons que le côté
positif de la surface coïncide avec le côté 2, c’est-à-dire que,
dans l’expression de Y 7 , les cosinus directeurs a 7 , p 7 ,y' sont ceux
de la direction positive de la normale à S telle que nous l’avons
définie (celle qui va du côté 1 au côté 1
2)
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