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des reprères devient automatiquement plus nette. D'autres dispositifs méca 
niques permettent de reproduire le modèle, d’après la planimétrie, en profils, 
comme perspective militaire, et de déterminer les différents points du modèle 
moyennant un système de coordonnées. 
H. Instruments et organisations 
En fait d’instruments et en plus de ce qui a été dit au cours de l’exposition 
des travaux réalisés dans le domaine si vaste et si complexe des applications 
non strictement topographiques de la photogrammétrie, nous commenceront 
par rappeler que l’Autriche a mis à point en 1954 un appareil de prises de 
vues et de restitution pour lever des sections transversales (cf. A) et prépare 
un autre appareil pour des travaux photogrammétriques sur des structures de 
béton armé. Les Instituts autrichiens qui s’occupent de ces études sont: 
— Institut de Géodésie de l’Ecole Polytechnique de Graz (Directeur Prof. 
C. Hubeny) 
— Bureau Métrique du Cadastre de Vienne (Directeur Ing. Neumaier) 
— Institut Topographique de Graz (Directeur Prof. C. Rinner) 
Les équipement de la Belgique comprennent des photothéodolites Galileo- 
Santoni; un appareil stéréoscopique à format réduit, pour photographier des 
détails architecturaux (sans les restituer); un ensemble de deux chambres mé 
triques à obturation synchrone f = 150 mm, format 13 X 18, montées sur bases 
contrôlées de 2 à 3 mètres; des stéréocartographes Santoni mod. IV; un restitu- 
teur Wild A5. 
Les Instituts Belges qui s’occupent des applications photogrammétriques en 
question sont les suivants: 
— Service de Topographie et de Photogrammétrie du Ministère des Travaux 
Publics et de la Reconstruction (Directeur M. Vermeir) 
— Institut Géographique Militaire (M. G. Lemaire) 
— Laboratoire de Photogrammétrie Aérienne de l’Université de Liège (Direc 
teur M. F. Camps) 
Les organisations préposées aux travaux photogrammétriques du Japon sont 
les suivantes: 
— Bureau Hydrographique du Comité de Sûreté Maritime (Hari et Tatsou 
Tsumokawa) qui utilise un stéréoplanigraphe C 5 avec appareils de prises 
pour la photographie des ondes marines. 
— Institut de Recherches et Transports (Takedhi Tjima) qui possède un 
stéréocomparateur pourvu de coordinatographe et des photothéodolites pour 
l’observation des ondes. 
— Institut de Sciences naturelles de l’Université de Tokio (Takakazu Marujasu 
Taichi Oshima) qui possède un photothéodolite terrestre. 
— Institut Technique Industrielle de Nogoya (Seitare Sakai) possédant lui aussi 
un photothéodolite terrestre. 
En Allemagne plusieurs Instituts s’occupent de recherches qui intéressent la 
Commission V de la S. I. P. et précisément: 
— Instituts de Photogrammétrie à Berlin, Bonn, Hannover, Karlsruhe, Stutt 
gart, München. 
— Architecture: Berlin, München 
— Odontologie: Université Libre de Berlin