rieurs, sans avantages appreciables en vue des buts d’urbanisme aux-
quels les plans etaient destines.
La nécessité que les vérifications des levés photogrammétriques soient
exécutées au moyen de méthodes permettant un « contróle par coordon-
nées » des points, au leu d'un contróle par distance entre les points
mesurées directement sur le terrain, s'est révélée évidente.
Finalement, la possibilité d'utiliser, aux grandes échelles, des courts
cheminements aériens en planimétrie (jusqu'à 5 ^6 stéréogrammes de
suite), appuyés à des nombreux points cotés photo-topographiques,
uniformément distribués sur chaque stéréogramme, a été largement con-
firmée.