b) On pense que la langue preferable pour les symboles standard doit
être la française.
c) En Italie, bien qu’on n’ait pas effectuée une standardisation pro-
prement dite, on a atteint pratiquement une certaine uniform;té dans la sym-
bologie et la terminologie photogrammétriques. L’uniformité réalisée pourra
être considerée dans les ententes qu’il est souhaitable puissent intervenir,
dans un avenir très proche, pour réaliser une standardisation effective dans
le domaine photogrammétrique.
d) Il serai convenable que la standardisation des définitions et des
symboles soit étudiée prélablement par un Comité de chaque Société Na-
tionale pour arriver à la decision finale basée sur les études et les considé-
rations de chaque Société.
On pense, cependant, que, pour obtenir des différentes Nations un en-
semble de propositions suffisamment homogènes la Commission VI devrait
donner des indications de caractère général, auxquelles chaque Société Na-
tionale pourrait se conformer dans ses suggestions.
CraprTRE III — Bibliographie
a) La photogrammétrie, malgré son remarquable progrès, constitue
une branche de la topographie et, dans son ensemble, elle ne comprend pas
un nombre exceptionnel de publications.
Cependant on jugerait convenable que pour la compilation de la bi-
bliographie soit adoptée une classification suffisamment détaillée, toutefois
sont de détails trop minutieux. Pour cela on pourrait simplifier notamment
les schémas de classification bibliographique proposés jusqu'ici.
b) On proposerait la classification suivante:
I - Photographie et tecnique photographique.
| — Questions générales,
2 — Chambres de prise et accessoires relatifs,
3 — Préparation et exécution des travaux.
II - Relóvements photogrammétriques, théorie, óquipements et résultats.
| — Questions générales,
2 — Relévement photogrammétrique par un photogramme unique (redres-
sement,
3 — Relèvement photogrammétrique par des couples de photogrammes,
4 — Cartographie photogrammétrique,
5 — Orientation des photogrammes.
6
— Appareils restituteurs.