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CHAPITRE XVII.
P, Q, R, G étant déterminés par les relations numériques
\> — r 2 -f- a ' 2 -h ici’t’x, R = a' 2 £' 2 ,
Q sin G = ‘xa 1 y coscp', Q cos G = a a ( x a! -J ) ;
et l'on doit remarquer la petitesse de R par rapport à P, ().
On peut mettre A- sous la forme
A 2 = p f i — sin/ cos ( u’ — <]/)] f 1 — P cos ( u -+- 4 ) b
en déterminant les nombres p , y, 3 , 4 ' comme il suit.
L’identification des deux expressions de A 2 donne
P _
P _
• . a .
> sin y Sin 2 4, — = p sin y,
— COsG = (sin/ -+- P) COS 4 ', ^ sill G = (sin/ — P) sin 4 ';
et ces relations reviennent à
I . R sin î 24 , (P ■+■ R sin 2 4')
1 S1 n ( 4 G ) = ^.-.-rr, 7TV ~ >
\ ' Q 2 sin (4 G),
p = p -i- r sin 2 44
Q sin ( 4 '+ G)
Q sin ( 4 ’— G )
La première de ces nouvelles équations est du troisième degré par
rapport à tang 2 4 ' ; mais d’après la petitesse observée de R, elle admet
une solution 4 ' voisine de G : c’est cette solution que l’on adoptera,
en la déterminant par des approximations successives dont le méca
nisme est évident. De cette valeur de 4 ' découlent immédiatement p ,
y, ¡B, cette dernière quantité ¿liant fort petite.
Si les excentricités et l’inclinaison J étaient nulles, on aurait
P’= R = o, Q — -¿aa',
4' = G = #■•+■ w — w' ;
laa
a 2 -f- a' 2
4 = 4 ' —
de sorte que
A 2 = p [i — sin y cos {g — 4)1 [i —■ P cos(^ -4- 4 )],
les quantités y», sin y, 4 s’écarteront peu en général des valeurs